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SNECC-Bénin dénonce les différents actes pris par le ministre E. Yayi Ladékan

Par Prince Amassiko
il y a 6 mois
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Eléonore Yayi

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La tension monte à l’université d’Abomey-Calavi. Après l’intersyndicale, le Syndicat national de l’Enseignement du supérieur (SNES) et du Syndicat autonome de la recherche de l’enseignement supérieur (SYNARES), c’est au tour du Syndicat national des Enseignants-chercheurs et des chercheurs du Bénin (SNECC-Bénin) de monter au créneau. Dans une déclaration en date du 25 août 2020, le secrétaire général du SNECC-Bénin, Arnaud Houédjissin condamne «la volonté des autorités du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESRS) de ringardiser les universités nationales du Bénin (UNB) ».

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Le SNECC-Bénin dénonce les différents actes pris par l’actuelle ministre pour asseoir ceux pris dans le même sens par son prédécesseur. Il informe que «le mémorandum de l’Intersyndicale des UNB de juin 2020, a précisé avec justesse les incohérences qui caractérisent ces actes suicidaires pour les universités publiques ». Et donc, il proteste et condamne avec la plus grande fermeté «la volonté manifeste des autorités ministérielles de conduire les UNB à l’abattoir en sacrifiant les acquis obtenus de hautes luttes et dont elles ont bénéficié ». De même que «la décision qui fait payer les enseignants les frais de participation aux différents grades du CAMES depuis 2019 ».

Le SNECC-Bénin fustige «la prise de la circulaire assassine du 10 juillet 2020 portant définition de quotas de postes ouverts » ainsi que «le non-respect des textes en vigueur – et du principe de la hiérarchie des normes qui veut qu’une circulaire ne puisse jamais abroger des dispositions d’un décret ou d’un arrêté- ce qui consiste une falsification grave dans un Etat de droit ». Il relève le non-respect de la promesse de recruter 1530 enseignants en cinq ans conformément aux prévisions du Programme d’action du gouvernement (PAG). Selon le SNECC-Bénin, en cinq bientôt, seulement 200 enseignants sont recrutés pour toutes les universités publiques. Et face à la gravité de la situation, le SNECC-Bénin «invite les enseignants et les chercheurs de toutes les UNB à un sursaut patriotique salvateur pour arrêter la saignée ».  

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