Il a été révélé que le lundi soir, avant qu’elle ne porte atteinte à sa vie, elle avait pris part à une rencontre conviviale entre entrepreneurs de la vallée à laquelle elle avait été conviée, toute souriante. Après avoir travaillé pendant sept ans à la brigade de Sainte-Marie-aux-Mines, la jeune gendarme âgée seulement de 31 ans a été affectée sur demande dans la capitale de la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, Strasbourg.
Et c’est là, dans son logement de fonction dans la caserne de la ville, que son corps sans vie a été retrouvé. La jeune militaire a été affectée à la cellule renseignement depuis son arrivée, le 1er août 2020,. La jeune femme se serait suicidée avec son arme de service. Si son acte a surpris ses collègues et les a mis sous le choc, le chef de la brigade sainte-marienne garde beaucoup de bons souvenirs d’elle.
« Elle était consciencieuse, très sociable »
« Toute le monde est sous le choc. Je l’appréciais beaucoup, c’était quelqu’un de disponible, de travailleur. Elle était consciencieuse, très sociable, avenante et dévouée pour son travail. Elle appartenait au conseil de fabrique et s’occupait du bal annuel de la gendarmerie,» a confié à DNA, le major Laurent Weil, chef de la brigade sainte-marienne. Une enquête, confiée à la brigade de recherche de Strasbourg, est en cours pour faire la lumière au tour des circonstances du drame
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