Au nombre des dossiers traités par à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), ce lundi 07 décembre 2020, figure une affaire de vente de gasoil. C’est une affaire de corruption active qui implique de hauts gradés de l’armée. Il s’agit de 660 tonneaux de gasoil siphonnés au large des côtes béninoises à Sèmè-Podji par une Béninoise qui en réalité a versé les 54 millions FCFA. Ce carburant appartient à un plaignant d’origine nigériane qui a été grugé par sa compatriote avec qui, il était en affaires.
La compatriote en question a perçu les 54 millions chez la Béninoise sans rendre compte au plaignant qui ne savait même pas que son produit allait être vidé au large des côtes béninoises. C’est suite à sa plainte qu’il s’est réalisé que sa compatriote a perçu les sous et a disparu. A l’heure actuelle, elle est introuvable tandis que l’interprète entre les deux dames, un Béninois, est lui en détention préventive depuis mai 2020.
L’avocat de l’interprète en détention provisoire a plaidé pour sa libération, mais le ministère public estime que son implication va au-delà de l’interprétariat. Un officier des forces navales et un autre de la police judiciaire sont cités et vont comparaître en février 2021 pour des clarifications. Le dossier est renvoyé à février 2021 parce que toutes les personnes citées n’étaient à l’audience.
Ils vous diront toujours que leur salaire ne leur suffise pas.
Quand grandirez-vous ? Faire des commentaires désobligeants alors que personne n’a été inculpé… L’aigreur et la rancœur ont vraiment pris le dessus chez certaines personnes.
L’explication est fumeuse, mais on est bien contraints de constater que rien ne change : le vers est dans le fruit et le pourrissement a bien – depuis des années – commencé par la tête.
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À cause de son odeur pestilencielle, l’argent sale est interdite de circulation pour raison d’assainissement public et environnemental
Interprète: Joleplombier.
Intéressant. Ils font bien ainsi leur travail (de détournement et non de protection des personnes et des biens) ?
Quand-ce que nous mettrons fin à cette mentalité néfarieuse, malhonnête qui ronge le Bénin sans épargner qui que ce soit, voire l’armée?
Quand au sommet, le chef va arrêter de nous distraire avec une lutte sélective contre la corruption alors que les vrais auteurs sont au gouvernement au parlement à crier Vive la rupture. Mieux, que le chef même donne le bon exemple en faisant publier les appels d’offres. Ainsi tout le monde se rangera.