Un ex-salarié de Zoom recherché par le FBI pour des censures au profit de la Chine

Un ancien employé de la société Zoom résident en Chine est dans le viseur du FBI. C’est du moins l’une des informations qu’il convient de retenir des confidences qui ont été faites par certaines sources judiciaires. Le mis en cause du nom de Jin est accusé d’avoir censuré des rencontres au nom du gouvernement chinois. Il aurait mis sur pied des mécanismes dans le but de transférer des moyens d’identification.

Il aurait commis un crime

 A en croire la plainte déposée auprès du tribunal de district des États-Unis pour le district oriental de New York, l’accusé aurait de manière proactive les vidéoconférences couvrant des sujets politiques et religieux qui n’étaient pas du goût du Parti communiste chinois (PCC) et le gouvernement chinois depuis janvier 2019. Dans un communiqué de presse le procureur américain par intérim Seth DuCharme a expliqué que le mis en cause a commis un crime.

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« Jin a volontairement commis des crimes et a cherché à tromper les autres au sein de l’entreprise, pour aider les autorités de la RPC à censurer et à punir le discours politique principal des utilisateurs américains simplement pour avoir exercé leurs droits à la liberté d’expression. », a fait savoir le parquet.

Licencié de Zoom

« Les accusations annoncées aujourd’hui indiquent clairement que les employés travaillant en RPC pour Les entreprises technologiques américaines rendent ces entreprises – et leurs utilisateurs – vulnérables à l’influence maligne du gouvernement de la RPC », a poursuivi le procureur américain par intérim Seth DuCharme dans son communiqué. Zoom pour sa part a tenu à rappeler que le mis en cause a été licencié de la structure depuis quelques temps.

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