En recherchant son père, elle apprend sa mort sur internet

Les médias numériques sont largement reconnus comme essentiels au maintien des relations. Les réseaux sociaux notamment ont une capacité avérée de maintien des relations amicales, de travail ou de famille. Après une grande crise, comme une guerre civile, les réseaux sociaux sont encore le premier moyen qu’utilisent des familles dispersées pour réunir leurs membres ou retrouver un parent disparu.

Mais pas uniquement, des familles également pouvaient être dispersées et ses membres se séparés à cause des aléas de la vie : voyage, disputes, ou perte de contact. Mais même là encore Facebook, Twitter ou Instagram, pour ce citer qu’eux, montraient tout leur pouvoir fédérateur. Et l’histoire de Kimberly Monick Ebohon en est un exemple.

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Un père de perdu, une famille de trouvée

Kimberly Monick Ebohon, est une magnifique jeune femme de 28 ans. Mais la jeune femme qui sur ses photos semble épanouie et libérée, cachait en elle la douleur de n’avoir pas connu son père. C’est que Kimberly, de mère philippine était née à Batac, une municipalité de la province d’Ilocos Norte, aux Philippines. Son père, Andrew Joseph Ida Ebohon, un chercheur et un missionnaire nigérian  y avait fait un séjour dans les années 1990.

De son voyage en Philippines naitra Kimberly le 24 avril 1992. Mais la mère de Kimberly, Virginia Sarian Ebohon, très vite perdra la trace de son époux, les deux avaient convolé en justes noces le 13 Mars 1993 à l’église Immaculée Conception Parish de Batac. Depuis la fille avait grandi avec le secret espoir de revoir un jour son père. Le 03 Mars dernier, Kimberly âgé de 28 ans publiait sur Facebook, notamment dans un groupe de « nigérians aux Philippines« , une annonce disant clairement qui elle était et qui elle recherchait. Les réponses n’avaient pas tardé.

Puisque, quatre jours plus tard, la jeune femme fera de nouveau une nouvelle publication annonçant cette fois avoir retrouvé la trace de sa famille paternelle, mais sans Andrew Joseph Ida Ebohon, le missionnaire étant déjà décédé. Mais Kimberly dira être reconnaissante d’avoir dans ses recherches, retrouvé sa famille et son désir ardent de pouvoir faire sur le Nigéria, le voyage pour venir les rencontrer.

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