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Poignardé 22 fois par sa femme il affirme l’aimer encore

La jalousie a amené une mère de famille à commettre presque l’irréparable. En effet, la mise en cause, Joanne Singleton a grièvement blessé son époux, Kevin Singleton. Les enquêteurs ont trouvé sur ce dernier 22 traces de couteau. Selon les informations du média britannique Daily Mail, les faits se sont déroulés au cours du mois de septembre 2020.

Il était dans un état critique

La mère avait fait part à sa fille des soupçons qu’elle avait concernant son époux. Cependant, le lendemain matin, elle s’en est prise à celui-ci avec deux couteaux. Sur les lieux, leur fils, Fox Singleton âgé de 22 ans a caché les couteaux et une lame dans un sac, pour protéger sa mère. Devant le tribunal, le procureur David Bradshaw a déclaré que : « Juste avant 14 heures le 7 septembre, Fox Singleton a appelé une ambulance et a dit à l’opérateur que son père était allongé sur le sol avec une blessure à la tête et une blessure par perforation au dos ». A l’arrivée des secours, la victime était dans un état critique.

Elle a été condamnée à huit ans et six mois de prison

Joanne Singleton et son fils Fox avaient été arrêtés et placés en garde à vue. Après avoir nié qu’elle a poignardé son mari, elle a finalement reconnu les faits en déclarant : « Je ne voulais pas le tuer, je voulais juste lui faire du mal. J’aurais pu le tuer ». Joanne Singleton a été condamnée à une peine de huit ans et six mois d’emprisonnement, pour intention de causer des lésions corporelles graves. Son fils quant à lui, a été condamné à huit mois et deux ans de prison avec sursis pour deux chefs d’accusation de complicité avec un délinquant. Malgré cela, la victime, Kevin Singleton, a dit qu’il pardonne à sa femme puisqu’il l’aime toujours.

« Nous sommes ensemble depuis 25 ans. Je pensais qu’elle était celle avec qui j’allais passer ma vie. Il y a un élément de pardon à cause de cela, parce que je l’aime. Je ne peux pas oublier ce jour-là, mais dans l’ensemble, je lui pardonne » a-t-il déclaré au tribunal.

Une réponse

  1. Avatar de Vince
    Vince

    Cela s’appelle le syndrome de Stockholm

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