Dans la matinée de ce jeudi 22 juillet, s’est tenue à l’hôtel Novotel de Cotonou, une rencontre d’échanges entre les experts internationaux du Club « Les chocolatiers engagés » et les acteurs de la filière cacao au Bénin. Daniel Mercier, le président du Club a déclaré pendant sa prise de parole, qu’il était " important de venir voir les fournisseurs béninois, d’échanger avec eux sur les variétés de cacao produites au Bénin " et les accompagner au mieux. Le directeur général de l’Agence béninoise de promotion des investissements et des exportations a quant à lui donné quelques informations sur le plan de développement de la filière cacao au Bénin.
" Vous êtes les pionniers du cacao dans notre pays "
A l’en croire, le gouvernement veut « planter 50 mille hectares de cacaoyers » au Bénin. Il lance pour cela un appel à l’endroit des pionniers du cacao au Bénin afin qu’ils prennent part à ce dispositif. « Vous êtes les pionniers du cacao dans notre pays et vous devez prendre part à ce dispositif. Et pour le faire, nous devons être accompagnés par des gens qui savent, qui ont de l’expérience. Des gens qui sont sur le marché. C’est le marché qui doit guider notre production, nos pratiques. C’est lui qui doit véritablement nous pousser à adopter les pratiques agricoles qui vont nous permettre de décoller au niveau de la filière » a-t-il dit aux acteurs du cacao béninois.
Faire de la filière cacao, une filière de production rentable
Laurent Gangbes pense que la présence des experts permettra aux acteurs de la filière et au gouvernement de franchir des étapes plus rapidement. Le souhait du chef de l’Etat Patrice Talon est de faire de la filière cacao « une filière de production rentable, de faire en sorte que ceux qui y travaillent puissent avoir le juste retour de leurs investissements » a t-il révélé par la suite.
Bonne initiative
En ce même moment, le Ghana produit localement du chocolat et compte en exporter de moins en moins.
Ces chocolatiers sont à la recherche de nouveaux esclaves.
Le Ghana compte exporter de moins en moins de cacao.
tu mens impunément devant tout le monde
Tu n' »es pas bien informé.
King’s Bite, u est un des noms des chocolats du Ghana. Vas-y dans Google et saisie-le.
Triste realite !
On a de nouveaux colons noirs qui reproduisent le modele d’ecomie de traite !
Cultures de rente avec des commis noir en cravate sans le casque colonial, importation des produits de conommation avec des supermarche aux mains du clan remplacant les comptoirs coloniaux comme walkden , john holt, sodeco remplacant cfdt…
A gerber
De toutes façons le climat béninois ne si prête pas. Allez demander aux quelques producteurs dans l’Ouémé dans les communes de Pobè et de Sakété qui s’y adonnent le rendement à l’hectare.
Est-ce que notre climat est propice pour cette culture, les pays producteurs comme le Ghana et la côte-d’Ivoire ont une pluviométrie plus importante que le Bénin
AGBONNON
je vous avais dit que je ferai de votre pays un pays emergent voilà une preuve
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Depuis que tu as des pieds et des couilles tu fais de très bonnes analyses mon frère
Oui il faut mettre en place des projets inclusifs et générateurs de revenus pour nos paysans. Sans cela une croissance fondée sur une exportation brute de quelques produits ce la créé la pauvreté généralisée
Merci cher (\\ ///
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« »« une filière de production rentable, de faire en sorte que ceux qui y travaillent puissent avoir le juste retour de leurs investissements » » »
Savons nous dans combien de temps cette filière serait elle rentable ?
Pourquoi chercher à concurrencer aveuglément La C.I. championne toute catégorie en la matière et le Ghana ?
Bof!
Encore un plan foireux.
N’y aurait il pas autre type de production DURABLE autre que du cacao ?
Lire plutôt »N’y aurait il pas autre type de production durable différent du cacao ? »
Mauvais plan qui ne vise qu’à singer un modèle ivoirien/ghanéen, pour de la croissance au profit de quelques uns.
Les béninois et leurs paysans, ne mangent pas de cacao. l’objectif doit être d’extraire les plus pauvres de la spirale de la pauvreté et pour le Bénin de s’approcher de la souveraineté alimentaire.
Là c’est un plan détourné pour se faire du fric avec des produits qui dévastent monde rural et nature et dont transformation et consommation ne concernent ni ne profitent aux africains,
Le plus simple : les cultures nourricières et leur transformation.
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