Au Canada, Prodil Houanhou, un jeune béninois a eu maille à partir avec la police de Montréal le samedi 03 juillet dernier. L’ingénieur de son, a été collé au mur d’un pub vietnamien avant de se voir passer les menottes. Il a ensuite été fouillé pendant environ 4 minutes par trois policiers au moins. Une patrouille aurait signalé que son vélo n’aurait pas un réflecteur. C’est la raison qui justifierait cette intervention que Prodil Houanhou a mal vécu.
"Je tremblais "
En effet, tout a commencé le samedi dernier aux environs de 14 heures, quand le béninois s’est arrêté au coin de la rue Montcalm et du boulevard De Maisonneuve. Devant ses yeux, se déroulait l'interpellation d'un homme noir. Enfin, tout portait à le croire. Un policier ayant remarqué sa présence lui lance : « Qu’est-ce que t’attends pour commencer à filmer ? ». Un autre agent va ensuite lui demander de décliner son identité après le signal de la patrouille . C’est dans la foulée que le jeune homme sera plaqué contre le mur et menotté. Entre temps, il avait commencé par filmer la scène de l’arrestation qui s’opérait avant son arrivée sur les lieux.
Prodil Houanhou dit avoir paniqué quand il a été poussé contre le mur. « Je tremblais et le policier me dit d’arrêter, qu’il n’aime pas les gens qui tremblent comme ça…J’entends des histoires autour de moi, mais je n’aurai jamais, au grand jamais imaginé que ce serait moi » raconte-t-il dans le Journal de Montréal. Le jeune homme ne compte pas laisser passer l’incident sans agir, surtout après qu’une personne ayant filmé une partie de la scène l’a motivé à saisir le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR).
Des interventions qui ont un lien avec la couleur de peau
Il envisage de déposer une plainte aux commissions de déontologie policière et des droits de la personne avec l’aide du CRARR . L’ingénieur de son pense avoir été victime d’un profilage racial. Fo Niemi, le patron du CRARR est du même avis. "Selon ce qu'il a décrit, c'est une intervention qui est très abusive, excessive" a t-il déclaré.
Il faut dire que le Service de police de la ville de Montréal ne prend pas à la légère cette affaire. C’est du moins ce qu’indique le corps policier. Il a déjà reçu la vidéo de la scène. Le commandant du poste de quartier aura donc à analyser les faits tout en tenant compte des circonstances et du contexte de l’intervention. Le béninois va néanmoins recevoir une contravention, lui qui prévoit déjà de déménager vu que les faits se sont produits à proximité de son lieu de résidence. Il est convaincu que les actes posés par le Service de police de Montréal ont « clairement » un lien avec la couleur de peau.
Très beau. Très joli. Très sexy. Irrésistible. Jolis cheveux.
La police ne peut plus faire son boulot aujourd’hui sans qu’on parle de racisme.
Où on va ?
Plainte sans suite, car apparemment les policiers ont fait leur job.
Déjà rien qu’en voyant sa coupe de cheveux, on ne peut que Le plaquer au mur car ce sont des cheveux des Fumeurs de l’herbe.
Quand le blanc a beaucoup de cheveux non peignés sur la tête ce n’est pas un problème. Mais le noir doit lui toujours coupé court comme le maître lui a appris pendant l’esclavage et surtout il doit les peigner, sinon le maiitre a dit que c’est un bandit et le beni oui oui de jojolabanane le répète comme un perroquet
Chikoyi
C’est sûr que toi tu ne fumes pas du Chico mais du ..shihich style Bob Marley
Reagan night
Jojolabanane tu es toujours à la Rue du Cherche Midi? Toi meme quand tu vendais les choses interdites, tu avais peur de la police, là depuis que tu es bonbon Pasteur tu escroques les fidèles
courageux…
