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Qualifs Mondial 2022: Dussuyer qualifie le penalty congolais « d’imaginaire »

Les Ecureuils du Bénin ont été éliminés ce dimanche 14 novembre 2014 au stade omnisports des martyrs de Kinshasa par les Léopards de la République démocratique du Congo (Rdc) de la phase des barrages du Mondial  Qatar 2022. A la fin du match, le sélectionneur national du Bénin, Michel Dussuyer s’est interrogé sur le penalty (qu’il qualifie «d’imaginaire») que l’arbitre gabonais Otogo Castane Eric Arnaud a accordé à la Rdc. Il  n’en revient toujours pas mais reconnait qu’il a manqué quelque chose à ses poulains pour franchir cette étape.

Déception et frustration sont les sentiments qui se lisaient sur le visage de l’encadrement technique, des joueurs et de la délégation béninoise. Pour Michel Dussuyer, «beaucoup de déceptions, beaucoup de frustrations aussi avec ce penalty qui est sifflé en tout début de match que personne n’a compris, même dans le stade. Il n’y a que l’arbitre qui sait ce qu’il a fait». Le sélectionneur national du Bénin a déclaré qu’il a « aimé la réaction des joueurs, la façon dont ils ont lutté contre le sort, par rapport à ce penalty imaginaire ». Ces joueurs «ont donné une belle image de l’équipe nationale». Il a par contre reconnu qu’il leur a « manqué un peu de réalisme dans les 30 derniers mètres pour pouvoir recoller au score. En seconde partie on est reparti sur les mêmes bases, mais ce deuxième but nous a assommé ».   

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L’avenir des Ecureuils

Après l’élimination des Ecureuils du Bénin de la course à la qualification pour la phase des barrages de la Coupe du monde 2022, Michel Dussuyer se projette déjà dans le futur. Pour lui, «il va falloir continuer par capitaliser sur le travail qui a été fait. Aussi, se dire que ce sont aussi des prestations qui engagent à être optimiste pour la suite et pour l’avenir».  Concernant le bilan au terme des éliminatoires du Mondial Qatar 2022, il a affirmé que «globalement, un peu satisfaisant. On voudrait être dans la course jusqu’au bout. Ça a été le cas. Maintenant, on ne va pas réécrire l’histoire. Il faut être fier de ce qu’on a fait lors de cette campagne».

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