Dans une réflexion publiée par Tanéka Média, Eugène Azatassou s’intéresse à la sorcellerie dans l’ère culturelle Tado. A l’entame, l’enseignant a tenu à féliciter le Dr Florent Eustache Hessou pour sa thèse sur le sujet. Le Démocrate trouve que « l’avalanche de ricanements sur les réseaux sociaux prouve » qu’il s’agit « d’un sujet difficile et sensible ». L’opposant a aussi souligné l’intervention de la présidente de l’Institut national de la femme (Inf) à l’époque.
« Peut-être en des termes moins vulgaires…»
En effet, Claudine Prudencio a dénoncé une stigmatisation de la femme parce que le tout nouveau Docteur désignait le sexe de la femme comme le siège de la sorcellerie. Pour Eugène Azatassou, « si dans l’ethnie fon on trouve que la sorcellerie à son siège dans le sexe de la femme, M Hessou devait le dire, peut-être en des termes moins vulgaires ». Mais le « chercheur a (déjà) présenté ses excuses » rappelle l’ancien coordonnateur national du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE).
Il trouve tout de même que les recherches scientifiques ne doivent pas être forcément au service de la cohésion sociale comme l’avait indiqué Claudine Prudencio. « Le rôle de la science n’est pas d’assurer la cohésion de la société. C’est d’avancer l’humanité dans la connaissance des lois de la nature et de la société. C’est à l’homme de faire son profit des résultats scientifiques » croit savoir Eugène Azatassou.
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