Le gouvernement béninois lors du conseil des ministres du mercredi 23 mars 2022 a pris d’importantes mesures pour réguler les prix des produits sur le marché. Pour permettre donc aux responsables des Confédérations et Centrales syndicales de toucher du bout des doigts et de connaitre les actions entreprises par son équipe gouvernementale, le Président de la République du Bénin, Patrice Talon, dans ses propos relayés par Radio Bénin, lors de la rencontre gouvernement-syndicats du mardi 26 avril 2022 au Palais de la Marina de Cotonou, a parlé des efforts faits par son gouvernement pour soutenir la population face à la cherté de la vie au Bénin.
« Nous sommes dans une situation extrêmement dramatique et personne ne sait ce qui se passera demain. Regardez le ciment, le fer à béton, le blé et conséquemment le maïs, le riz, le manioc. Les intrants agricoles ont doublé, triplé de prix » a déclaré le Président Patrice Talon. Le Chef de l’Etat a fait savoir que les prix des engrais « ont été multipliés par 4 » et que «les producteurs n’auront jamais les moyens d’acheter ces engrais-là à ces prix-là et produire le maïs, le riz dont nous avons besoin au quotidien le manioc, l’igname, des légumes ».
«Qu’est-ce qui nous attend dans les prochains mois ? » s’est interrogé le Premier Magistrat du pays. Il a affirmé que c’est «parce que l’Etat béninois a fait des efforts énormes pour subventionner le prix des engrais ». «Heureux sommes-nous encore de les avoir? » a-t-il dit. Il a laissé entendre qu’«il y a des pays qui n’ont pas un kilo d’engrais » et a ajouté que «nous les avons, nous soutenons les prix des engrais mais j’espère que d’ici la campagne prochaine, la situation sera normalisée mais qui sait».
Le Président de la République Patrice Talon a rappelé que l’Etat béninois «consacre beaucoup de ressources à soutenir ces produits-là» et que c‘est aussi à cela que le gouvernement est confronté. «On n’avait pas imaginé qu’une situation aussi brutale et aussi économiquement dramatique s’imposerait à nous» a-t-il tenu à signaler.
Si le Sénégal, la Guinée, et Mali mettent les produits comme mangues et pastèques dont 70 pour cent trouvent le chemin de tas d’ordures, travaillons avec les moyens du board. Produire localement des jus cocktails Mangue/Pastèque ou jus de mangue ou jus de pastèque. Manque d’imagination je suppose
Nous sommes..sur des faits accomplis depuis 2019..
Ceci étant..dit…si j étais conseillé.de talon..je lui digérer..de procéder..partout..où c’est..possible…de transformer sur place nos productions..vivrières..
La suite
Un partenariat stratégique industriel..avec un pays comme..la Turquie..par exemple..
Manioc..igname dorgho.mil.fonio..viande..soja..peuvent être transformé..sur place
Une sécurité alimentaire..assuré..
Des emplois..assurés
Nos zones humides..peuvent produire..autant.de légumes..pour nous..et..pour l export
Le Sénégal et la Guinée..voire le mali..que je connais..bien
Il arrive..des mois..mai..juin..juillet..où la production de mangues..de pastèque..depasse l entendement..
70..pour cent..partent en dechets
C est dommage