Selon des spécialistes, exerçant dans plusieurs localités du département du Borgou, près de 300 cas d’actes de violence basés sur le genre ont été enregistrés en 2021, suite à des plaintes et dénonciations formulées par les victimes ou les témoins. Les victimes se comptent parmi les femmes et enfants qui n’échappent pas aux actes de tortures physiques, psychologiques ou morales de leurs bourreaux.
Intervenant sur les antennes d’un média local, le spécialiste en la matière Albert Dovonou, a laissé entendre que de plus en plus, de plaintes et dénonciations auprès des responsables de structures compétentes en la matière, sont formulées, par rapport aux années antérieures. Il s’agit de cas de maltraitance d’enfants, de violences sexuelles de filles mineures et de traitement dégradants de femmes de ménages.
Selon M. Dovonou, après avoir formulé leurs plaintes, les victimes bénéficient sans paiement de moindres frais de la part des services compétents de prise en charge de plusieurs types de violence. Il s’agit entre autres de prises en charge médicale, juridique et de traitements favorables à la réintégration sociale des victimes dans leur cadre de vie.
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