Le Bénin connaît depuis quelques jours une augmentation des scandales de corruption. Sociétés d’Etat, agences, ministères et même la présidence de la République sont ébranlés chacun par des dossiers rocambolesques. Les cas révélés par la presse et qui pourraient ne pas être les seuls amène plusieurs personnes à penser à l’inefficacité du dispositif mis en place par le gouvernement.
La corruption a vraiment la peau dure au Bénin. Telle l’hydre de Lerne, elle sort toujours une tête lorsqu’on essaie d’en couper une. Aucune batterie d’actions n’a été assez efficace pour éradiquer le fléau. Depuis 1990, tous les gouvernements qui se sont succédés au pouvoir ont essayé vaille que vaille de lutter contre la corruption. Installé depuis Avril 2016, le pouvoir de la rupture a fait de la lutte contre la corruption son cheval de bataille. Le chef de l’Etat a prôné dès sa prise de pouvoir une société de vertu et une gestion rigoureuse des finances publiques.
La suite de cet article est réservé aux abonnés: Connectez-vous si vous avez déjà un abonnement ou abonnez-vous ici
Laisser un commentaire