Malgré toute la profession de foi du chef de l’Etat et les assurances distillées dans l’opinion, un projet de révision de la constitution béninoise a été transmis à l’Assemblée nationale et sera examiné par les députés dans les prochains jours. Il ne s’agit plus seulement de la modification du Code électoral, mais d’un vrai projet de révision de la loi fondamentale. Le plan d’action est désormais mis en marche avec l’introduction au Parlement d’une proposition de loi modificative de la constitution au nez et à la barbe d’une Société civile devenue depuis le déclenchement de ce débat silencieuse.
La volonté de la majorité parlementaire de réviser la constitution béninoise est désormais officielle. Et pour cause, une proposition de loi modificative a été introduite le vendredi 26 janvier 2024 à l’Assemblée nationale. Le geste a été fait par le député Assan Séibou, président du groupe parlementaire Bloc républicain. Cet acte, bien que remettant sur le tapis la question de la confiance entre Talon et le peuple béninois ne surprend personne. En effet, il y a longtemps que les Béninois savaient que la majorité présidentielle en arriverait à ce point même si plusieurs fois, le président de la République a dit publiquement ne pas vouloir réviser la constitution et briguer un troisième mandat.
Une crise de confiance désormais confirmée
La profession de foi et la manifestation de bonne foi du chef de l’Etat n’aura rien fait contre une nouvelle révision de la loi fondamentale du Bénin après celle intervenue en 2019. Avec les députés des deux partis siamois de la majorité présidentielle, le discours et la démarche sont différents. Le président de la République n’en est pour rien nous dira-t-on. Vu que c’est lui le chef de la majorité présidentielle, certains analystes évoquent deux thèses. Ou bien c’est Patrice Talon qui est le commanditaire de la loi modificative ou alors il dirige une majorité qui ne marche pas dans le même sentier que lui.
La suite de cet article est réservé aux abonnés: Connectez-vous si vous avez déjà un abonnement ou abonnez-vous ici
Bras dessus bras en-dessous. Une sorte de démangeaison politique qui envahit leur tête. Bandes de politiciens fougueux, ils ne savent pas s’exprimer, ils mentent au jour jour le jour, ils ont tous bu cette concoction nommée « politique » et sont devenus ivres après coup. Bandes d’adjotôs! La « Jeune Constitution », vous voulez faire d’elle un outil méconnaissable, et vous n’avez pas honte! le noir ne se respecte pas. Ils ont changé le nom du pays sans changer de mentalité, quelle honte! Changer la Constitution la « Démocratie » pour faire place à une « dictature » à la Poutine. Bandes de faux-types! Et personne ne voit pas le danger de ce changement qui semble résonner à tambours battants.
Tu veux dire MARINA au bord de l’océan atlantique?
Answer To Sir Aziz
Pourquoi changer ce qui marche ?
Aujourd’hui le Bénin est sur labonne voix……continuous…
Allez la bonne révision .
Aziz, tu es prêt à nous supporter ?
1 coup
2 coup
3 coup
Feu d’artifice
quand vous serez a segbana….je vais aviser…jojolabanane
Hey aziz
Les médias annoncent une réunion de concertation des démocrates, ce jour, sous la houlette de Éric Houndete, pendant que d’autres parlent d’une rencontre de Yayi Boni et de Djenontin, avec les militants, à Akassato, le 31 janvier!!! Rumeurs ou réalité??? Eclaire nous stp
Peu importe..qui va diriger…la réunion
Peut être..de la réunion..nous irons déloger..votre champion à la marina
Tout est possible..
Nulle effet et non avenir, cela montre clairement que l’homme n’a aucune parole. Seule la relation duplicitaire et la politique de l’en même temps qui le caractérise ni plus ni moins d’accord, et c’est vraiment vraiment décevant pitoyable et honteux. Voyez l’affaire c’est aussi simple à comprendre notez moi très très bien ça dixit Dr Doss
Nulle effet et non avenir
Avouons que notre agrégé des aguegues..tape fort .
C est vraiment du lourd