Au cœur de l’aéroport de Cotonou, un événement troublant a conduit à l’arrestation du brigadier chef de police, Ourou Abdel Aziz. Mis en cause pour abus de fonction, cet incident a révélé des failles dans le contrôle de sécurité. Le policier, après une série d’auditions menées par le procureur de la Cour de Répression des infractions économiques et du terrorisme, a été incarcéré à la prison civile de Cotonou ce lundi 8 avril 2024.
L’affaire a débuté lorsque des suspicions ont émergé autour d’une passagère, prête à embarquer, trouvée en possession d’une substance suspecte, apparemment prohibée. Les informations recueillies par nos confrères du Potentiel, grâce à une source au sein du département enquête et investigation, pointent vers une négligence de la part d’Ourou Abdel Aziz lors du contrôle de sécurité, permettant à la dame de passer avec le produit litigieux.
Des investigations plus approfondies ont révélé que la passagère en question possédait une double identité, complexifiant davantage l’affaire. Malgré une fouille initiale, la substance interdite a été discrètement placée dans la soute de l’avion, échappant ainsi au contrôle sécuritaire habituel.
Cet incident a promptement déclenché une enquête judiciaire, aboutissant à l’arrestation de la passagère ainsi que du brigadier chef Aziz. Tous deux ont été conduits à la prison civile de Cotonou, où ils attendent leur jugement. Cette affaire soulève des questions importantes sur la rigueur des protocoles de sécurité au sein de l’aéroport.
L’enquête sur cet abus de fonction présumé illustre la vigilance constante requise dans les opérations de sécurité aéroportuaire. Les autorités judiciaires du Bénin restent fermes dans leur engagement à maintenir un haut niveau de sûreté et à sanctionner toute négligence susceptible de compromettre la sécurité des passagers.
Comme d’habitude, les informations n’ont jamais ni tête ni queue.
Pour un produit rangé dans un colis déjà admis en soute, comment pouvez-vous savoir s’il était là ?
Vous dites que la position dudit produit dans le bagage lui a permis d’échapper aux contrôles habituels mais vous accusez le chef service d’abus de fonction mais pas de négligence ou même manque de vigilance.
Pour finir, comment avez-vous su que cette passagère transportait une substance prohibée ( substance dont à aucun moment vous n’avez mentionné le nom). S’il s’agit d’une arrestation politique, faites le comprendre au lieu de nous donner des informations qui n’informent sur rien.
Oui très bonne analyse et commentaire.
Merci à vous
Aziz sont il est question n’est pas le respecté, Sultan du forum.
Je mets en garde les esprits tordus qui voudront se saisir de cet homonyme pour porter atteinte à l’honorabilité et ka dignité de Son Excellence Sultan Aziz à qui je souhaite une bonne fête de l’Aid Al Fitr.
Quel est le cas précisément ?
L’article n’est pas clair, car si ke colis a été en soute, ça voudrait dire que le vol serait parti avec et la dame et ke colis. Si 1, tel était le cas, la dame serait-elle arrêté à l,’étranger ?
Si 2, elle fut recontrôlée après constat du 1er contrôle via vidéosurveillance, l’arrêt aurait lieu sur place avant embarquement.
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