Un jardinier a comparu le mardi 17 juin 2025 devant le tribunal de première instance de Cotonou dans une affaire de vol d’argent au domicile de son employeur, un avocat. Recruté un an plus tôt, le prévenu a reconnu avoir pris une somme de 350 000 francs CFA. À son interpellation, il a restitué 178 000 francs, laissant un solde non reversé de 172 000 francs CFA.
Un second vol de 750 000 francs CFA a ensuite été signalé. Cette fois, le jardinier a nié toute implication et a mis en cause le chauffeur de la maison, en service depuis sept ans. Entendu à son tour, le chauffeur a rejeté les accusations. Il a déclaré n’avoir jamais été mêlé à un cas similaire depuis son engagement et a indiqué que les incidents ont débuté après l’arrivée du jardinier.
Au cours de l’audience, le jardinier a reconnu un autre acte : le vol d’un chéquier appartenant à son employeur. Selon les éléments versés au dossier, les faits rapportés se produisent les jours où il est seul à la maison. En raison des versions contradictoires fournies par les deux employés, le tribunal a décidé de renvoyer l’affaire au 8 juillet 2025. Ce délai permettra au ministère public de formuler ses réquisitions.




» Son employeur, un avocat »
Cet avocat ne connait pas qu’il y a des institutions bancaires à Cotonou?
C’est gênant et maladroit à la fois.
Voici un jardinier qui aime bien arroser le coffre fort de son employeur.
Pourquoi le garder après son premier larcin?
Il a fallu son arrivée pour que les choses commencent à disparaitre de la maison.
Faudra-t-il quelqu’un avec la Science de rockets pour déloger le voleur?