Le dossier du Sahara occidental reste au cœur des tensions entre le Maroc et l’Algérie. Chaque pays défend sa position sur la scène internationale, dans une bataille d’influence qui se joue aussi bien à l’ONU qu’auprès de partenaires bilatéraux. Tout récemment, la République du Panama a affiché, lors d’une visite officielle à Rabat, son soutien à l’initiative d’autonomie présentée par le Maroc.
À l’issue d’un entretien entre les chefs de la diplomatie des deux pays, le Panama a affirmé considérer la proposition marocaine comme « la base la plus sérieuse, crédible et réaliste » pour résoudre le conflit. Le ministre panaméen des Relations extérieures, Javier Martínez-Acha Vásquez, en déplacement au Maroc, a rappelé cette position dans un communiqué conjoint signé le 16 juin.
Il a même précisé que cette initiative devrait être l’unique solution à l’avenir. Une déclaration qui confirme le rapprochement diplomatique entre les deux pays sur ce sujet. Ce soutien n’est pas isolé. Depuis plusieurs années, le Maroc travaille à élargir le cercle des pays qui appuient son plan d’autonomie pour le Sahara occidental. Plusieurs États se sont déjà exprimés dans ce sens.
De son côté, l’Algérie soutient le Front Polisario, qui réclame un référendum d’autodétermination sous l’égide des Nations unies. Alger continue de défendre cette position auprès de ses alliés traditionnels, en particulier dans certains pays africains et latino-américains.
Le Sahara occidental est un sujet complexe, à la fois politique, historique et géostratégique. L’ONU le considère comme un « territoire non autonome », et ses efforts pour faciliter une solution négociée n’ont pas encore abouti. Le Maroc propose un modèle d’autonomie sous sa souveraineté, tandis que le Front Polisario, avec le soutien de l’Algérie, défend le principe de l’autodétermination.

Des milliards de dollars dépensés pour le chergui alors que le Zawali fait la chaîne pour le lait, l’huile, le café, les bananes etc etc et se bat comme un chiffonnier pour un mouton caniche pour l’Aïd.
La diplomatie de la médiocrité initiée par le général médiocre en chef boukharoba porté ses fruits amères.
En tout cas les casinos espagnols et les Sheraton du monde entier remercient le département régence pour sa bonté.