Les relations franco-algériennes connaissent une dégradation marquée, notamment depuis la reconnaissance par Paris du plan marocain d’autonomie pour le Sahara occidental. La situation s’est encore tendue avec l’arrestation en Algérie de deux Français, l’écrivain Boualem Sansal et le journaliste Christophe Gleizes, alimentant un climat de suspicion réciproque et entravant tout dialogue constructif.
Ces événements ont jeté une ombre sur les échanges diplomatiques, déjà fragilisés par des divergences politiques profondes. Bruno Retailleau, ministre français de l’Intérieur, incarne d’ailleurs cette ligne dure à l’égard d’Alger.
Ce dernier défend une politique restrictive visant les déplacements des officiels algériens en France et remet en question les accords de 1968, qui accordent aux Algériens des avantages uniques en matière de circulation et de séjour.
Ces conventions, héritées de l’après-indépendance, sont désormais au cœur d’un bras de fer diplomatique, notamment sur la question des valises diplomatiques et des privilèges accordés aux représentants algériens.
Les accords de 1968 : un enjeu central dans la discorde
Ces textes, symboles d’une relation historique, garantissent aux Algériens des droits distincts de ceux des autres ressortissants étrangers. Pourtant, la fermeté affichée par le ministère de l’Intérieur a ravivé les tensions, particulièrement autour de l’accès des agents algériens aux zones aéroportuaires françaises.
Le Quai d’Orsay a tenté d’apaiser la crise en proposant, le 7 août, un mécanisme dérogatoire : un accès conditionnel aux zones sensibles, sous réserve de formalités strictes. Problème, cette solution diplomatique a été perçue par Alger comme humiliante et incompatible avec les normes diplomatiques internationales.
L’Algérie dit non à la proposition française
L’Algérie a donc annoncé son rejet pur et simple de cette proposition. Les autorités algériennes insistent de leur côté, sur le rétablissement intégral des privilèges d’accès permanent, refusant toute mesure qu’elles estiment discriminatoires, ajoutant appliquer des mesures de réciprocité, en guise de contestation. Une situation qui confirme à nouveau que les relations entre les deux pays se trouvent dans une impasse.




Il faut aussi nous parler un peu de ce retour de la FRANÇAFRIQUE au Sahel (Mali, Niger, Burkina Faso) grâce au roitelet du Maroc et en application de la feuille de route annoncée par Macron à partir du Parlement marocain de Rabat (Maroc) en octobre 2025.
De la part d’un Panafricain convaincu.
Si nos grands-parents algériens ont fait tomber la 4ème République en 1958, nous la diaspora algérienne de France on fait le Serment à nos MARTYRS qu’on va faire tomber la 5ème République courant 2025 avec la promesse que le mois de septembre va être CHAUD, CHAUD, CHAUD 🔥🔥 🔥
Le trio Macron-Barrot-Retailleau doit cesser de provoquer la diaspora algérienne de France. Ça y va de l’intérêt de la France, sachant qu’il y’a aujourd’hui dans les banlieues de l’hexagone environ 1,5 Million de soldats dormants algériens prêt à tout pour défendre la DIGNITÉ de l’Algérie
À bon entendeur…
Ni apaisement, ni réconciliation, ni dialogue, ni échanges économiques, ni retour à la normale avec cette France officielle tant que MACRON n’aurait pas officiellement :
1/- RETIRÉ sa reconnaissance de la colonisation du Sahara occidental 🇪🇭 par le Maroc et REVENIR au respect du droit international édicté par la Charte des Nations Unies,
2/- RECONNU le « Génocide algérien » de l’armée coloniale française, et de tous les corollaires des 132 années de sa barbare colonisation.