Depuis le déclenchement de l’invasion russe en février 2022, la guerre en Ukraine s’enlise, marquant durablement les équilibres géopolitiques et les consciences collectives. Malgré des années de combats, d’escalades militaires et de tentatives de médiation, aucune solution durable ne se dessine.
Les affrontements se poursuivent, avec leur cortège de destructions, de déplacements de populations et de tensions persistantes entre Moscou et Kiev. Dans ce contexte, les déclarations tonitruantes de Donald Trump, affirmant pouvoir « mettre fin à la guerre en 24 heures », restent lettres mortes. Elles soulignent surtout l’écart entre les promesses diplomatiques et la réalité d’un conflit aux racines profondes, territoriales, historiques et stratégiques, où chaque camp campe sur ses positions.
Poutine, en visite en Alaska
La rencontre récente entre Vladimir Poutine et des représentants étrangers à Anchorage (Alaska) a confirmé cette paralysie. Aucune avancée tangible n’en est sortie, si ce n’est la démonstration d’un dialogue au point mort. Trump, conscient de l’enjeu pour son image, tente désormais de contourner l’impasse en explorant d’autres leviers d’influence. Mais sans consensus international, toute initiative risque de se heurter aux blocages structurels du conflit : méfiance réciproque, enjeux de souveraineté et calculs géostratégiques qui dépassent le cadre ukrainien.
Des sanctions contre la Russie sont envisagées
Pour faire plier Moscou, Trump mise sur l’arme économique, en brandissant la menace de sanctions renforcées contre la Russie. Son plan repose sur deux piliers : un embargo total sur le pétrole russe et des barrières douanières massives contre la Chine, premier client des hydrocarbures de Moscou. Une stratégie agressive, mais qui bute sur un obstacle de taille : l’unité fragile de l’Occident.
Les États-Unis exigent en effet des alliés européens un alignement sans faille, alors même que leurs intérêts divergent. Si l’UE a bien réduit sa dépendance au pétrole russe, des pays comme la Hongrie ou la Slovaquie maintiennent leurs importations, tandis que la transition énergétique complète, notamment pour le gaz, n’est prévue qu’à horizon 2027.
Une réalité économique trop dure à entendre ?
Pire, étendre les sanctions à des partenaires majeurs comme la Chine ou l’Inde, gros consommateurs de pétrole russe, relève de la gageure. Une telle mesure risquerait de déclencher des représailles commerciales dommageables pour l’économie européenne, déjà fragilisée. Résultat : les propositions de Trump, bien que spectaculaires, se heurtent à une réalité géoéconomique bien moins malléable que ses discours. Les Européens, tiraillés entre solidarité avec Kiev et pragmatisme énergétique, peinent à suivre.
Un jeu diplomatique à haut risque pour Trump
Face à ces résistances, l’ancien président américain semble préparer une sortie de secours. En conditionnant ses sanctions à des exigences quasi impossibles à satisfaire (comme un embargo immédiat et unifié), il se couvre contre un éventuel échec. Si les mesures échouent, la faute pourra être rejetée sur « le manque de volonté des alliés », préservant ainsi son image de négociateur hors pair, tout en maintenant la pression sur les européens.




Houla … le niveau de certains commentaires !
Ca se passe mal en Allemgane, Merz a annoncé qu’il n’avait plus un kopek pour le système social allemand alors qu’il vient d’envoyer 9 milliards d’euros en Ukraine !
Du coup, l’AfD est devenu le premier parti d’Allemagne.
Par sûr que ce bouffon, copain de bringues de Micron reste encore très longtemps au pouvoir.
» l’AfD est devenu le premier parti d’Allemagne… »
Oui c’est çà! Cela te va bien.
Le Suédois de la Khabilie ne sait plus quoi dire.
Lâche il a été, lâche et vendu il sera toute sa vie.
Hé ouais bonhomme, les imbéc!les dans ton genre l’ignorent mais les autres savent qu’il y a eu des élections en Allemagne dimanche dernier.
Avec les résultats que t’iras voir par toi-même, pauvre cloche 😉
Russie: Comment Trump joue avec les nerfs des européens
Trump s’est fabriqué un violon à 27 cordes avec les nerfs de chaque pays de l’UE.qu’ils à Ursula vandaléenne
qu’il joue à Ursula vandaléenne
L’expression n’est pas neuve mais elle elle utilisée à bon escient.
Je n’aime pas du tout le personnage, ni ses méthodes, mais on est bien obligé de reconnaître que l’animal est beaucoup subtil qu’on croyait ; il les a « mis au coin ».
Impatient de voir comment les 27 danseurs vont se sortir de là !
Un autre expression sympa : « Il les fait tourner autour de son petit doigt ! »
C’est « faire danser quelqu’un autour de son petit doigt », il me semble.
Elle est jolie 😉
« faire danser les 27 autour de son petit doigt »
Je la garde, celle-là ! On imagine bien Trump le petit doigt en l’air !
Trop bien …
SID i Mohammed alias BOBARD
C’est bien ce que je pensais. Tu es un b*a*ta*rd qui a une haine féroce contre la France, parce qu’elle ne t’a pas reconnu.
Continue de parler notre belle langue, qui est sans doute supérieure à ton patois. Je serais plus indulgent avec toi la prochaine fois.
Bravo pour ton expression dans la langue de Molière. Nota Bene: Pétain n’était pas président de l’Europe en 1945.
On vient d’apprendre que les drone « russes » qui ont « attaqué » la Pologne étaient munis de cartes SIM ukrainiennes et lituaniennes !
De vrais pieds n!ckelés, les gars des « effets spéciaux » à Varsovie et à Kiev.
Du coup, la tentative de mettre Trump au pied du mur va se retourner contre ceux qui ont tenté de lui faire activer l’article 5 et d’entrer en guerre contre la Russie. Suivez mon regard.
Du coup, la tentative d’impliquer Trump va se retourner contre ceux qui ont tenté la provoc’. Suivez mon regard.
Le Suédois qui écrit depuis sa Khabilie natale, bonjour
« Un jeu diplomatique à haut risque pour Trump »
TZrump a assuré le coup en demandant non pas à l’UE mais à l’OTAN d’arrêter les achats de pétrole russe. Or dans l’OTAN, il y a la Turquie et son Turkish Stream qui rapporte un MAX de tunes à Erdogan.
Du coup, un embargo unifié est une exigence TOTALEMENT impossible à satisfaire
Très joli coup de pok’
Pétain ne représentait pas toute l’Europe. Qu’est ce que tu fais en France si tu détestes autant la France.
Rentre dans ton pays, si toute fois tu en as un.
SID i Mohammed le khabil.
Mon tout petit zouzou, je n’ai jamais mis les pieds dans ton pays de mangeurs de figues ! Ca fait péter, les figues 😉
…. et je fais ce que je veux où je veux … pas besoin de ta permission. Tu devrais t’en douter un peu … si tu avais pour deux sous de cervelle.
Je crois que je vais reprendre mon pseudo de « Suédois »
Ca évitera de pertuber les imbéc!les dans ton genre.
Depuis le départ, le but de Trump est de se désengager de ce conflit perdu d’avance. Il a essayé plusieurs systèmes un peu grossiers et maintenant, il refile la patate chaude aux européens. « En conditionnant ses sanctions à des exigences quasi impossibles à satisfaire », il leur met le nez dans leur kaka et c’est assez finement joué.
Jusqu’à présent les européens ont réussi à saboter toutes les tentatives de Trump mais il vient de les coincer ; Bruxelles vient d’annoncer la suspension du 19ème train de sanctions.
Voyons voir si ces balletringues trouvent la parade.
L’histoire des drones en Pologne les discréditent encore un peu plus : un F-16 polonais a tiré un missile dans une maison (polonaise) en tentant d’abattre un drone inoffensif en plastique !
La « force » de dissuation européenne dans ses oeuvres 😉
Du coup, les Roumians ont décidé de ne pas essayer d’abattre « le » drone qui se promenait au-dessus de leur frontière. Sage décision !
Bof!
Les Européens ont compris depuis le début que Trump est un faux****, un faux ****, qui n’a rien dans le falsard face à Poutine.
Tout comme Poutine, les Européens ne le respectent plus.
Fuck!
le chaos programmé pour l’Europe naïve ,
l’Europe va – t – en guerre.
Naïve, c’est vraiment gentil … naïve, stupide et hystérique !
L’europe se tire des rafales dans le pied et dit : « Même pas mal ! »
En 1945, Pétain a été jugé pour haute trahison.
Faudra songer à remettre le couvert 80 ans plus tard.