Entre admiration et méfiance, Donald Trump et Vladimir Poutine ont entretenu depuis 2016 une relation oscillant entre rapprochement et confrontation. L’ancien locataire de la Maison-Blanche a souvent vanté la force et l’intelligence du président russe, au point de susciter des critiques dans son propre pays. Pourtant, derrière les sourires et les éloges, Washington n’a jamais cessé d’imposer des sanctions à Moscou, que ce soit pour l’affaire Skripal, l’ingérence électorale présumée ou la guerre en Syrie. De son côté, le Kremlin a alterné signaux d’ouverture et dénonciations virulentes des mesures occidentales, comme deux danseurs qui s’attirent et se repoussent sans jamais parvenir à s’accorder. Cette ambivalence, souvent résumée par l’expression « je t’aime, moi non plus », semble aujourd’hui atteindre ses limites à la lumière des dernières déclarations de Trump.
Une patience à bout de souffle
Hier vendredi, Donald Trump a laissé entendre qu’il n’entendait plus prolonger indéfiniment ce jeu d’équilibriste. Intervenant en direct sur Fox News, il a admis que sa patience envers Vladimir Poutine « s’épuise rapidement ». L’expression sonne comme un avertissement à peine voilé, d’autant qu’il a évoqué l’option de nouvelles sanctions visant les banques et l’industrie pétrolière russes. Même s’il a insisté sur le fait qu’il avait déjà frappé fort par le passé et qu’il ne s’engageait pas encore sur des mesures précises, le message est clair : le temps de l’indulgence semble révolu.
Dans le même entretien, il a aussi exhorté Volodymyr Zelensky à prendre ses responsabilités pour mettre fin au conflit, insistant sur l’idée que les occasions de négocier avaient été manquées des deux côtés. Donald Trump a aussi fait part d’une lassitude grandissante à propos des tentatives de négociation entre Kiev et Moscou. À ses yeux, les occasions ratées se sont accumulées, chaque partie refusant tour à tour d’aller jusqu’au bout d’un accord. En imageant la situation par un tango où l’un des partenaires refuse toujours de suivre le rythme, il a voulu souligner la difficulté à ramener les deux camps à la table des pourparlers.
Entre avertissements et contradictions
Le discours présidentiel se révèle paradoxal : tout en durcissant le ton contre la Russie, Trump demande simultanément à Volodymyr Zelensky de mettre fin au conflit, comme si la solution dépendait d’un seul pas en arrière de Kiev. Cette approche, qui fait peser la responsabilité sur l’Ukraine autant que sur Moscou, tranche avec la position habituellement défendue par les alliés européens.
Une rupture en suspens
L’impression qui se dégage est celle d’une relation au bord de la cassure, mais pas encore rompue. Les déclarations récentes laissent présager une période de tensions accrues, avec la menace de sanctions brandie comme une épée de Damoclès au-dessus de l’économie russe.
Reste à savoir si le Kremlin choisira la confrontation ou la temporisation. Pour l’heure, Moscou n’a pas directement répondu aux propos de Trump, préférant insister sur sa volonté de dialogue, tout en accusant l’Europe de bloquer d’éventuelles avancées. L’incertitude demeure : les prochains jours diront si cette joute verbale débouche sur un divorce politique consommé ou sur un nouveau round de ce pas de deux incertain.




Des mots vides comme un tonneau, jamais il n’y aura pas de rupture entre Trump et Poutine, car voir c’est croire, et j’attends ce fameux jour de rupture.
« Des mots vides comme un tonneau »
Ai connu des tonneaux pleins !
C’est rare mais ça existe
Le rapport entre Trump et Poutine est juste empreinte de cordialité. Il n’y a jamais eu de confiance puisque cette duplicité n’est qu’un jeu de dupe.
Trump caressant par le poil un expérimenté agent secret. Le patriotisme exacerbé des deux dirigeants qui défendent les intérêts géostratégiques, géopolitiques et surtout militaires et économiques font des Européens les cocufiés de cette alliance transatlantique.
Cherchez l’erreur
L’expérimenté agent secret joue du Trump comme d’un Stardivarius. En virtuose. Il a été formé pour ça et il était premier de la classe !
– Poutine a toutes les cartes dans les mains
– Trump peut s’en sortir en coulant l’Europe
– l’Europe est le futur 1/3 Monde
– Macron ira pleurer dans les jupes de sa mère ou de son institutrice, c’est lui qui voit !
»…font des Européens les cocufiés de cette alliance transatlantique…. »
Cocufiés ? C’est aller un peu vite NON!
L’histoire n’est pas terminée, alors pourquoi s’emballer.
OK, d’accord, l’histoire n’est pas terminée ! C’est vrai 🙂
Mais la fin de l’histoire est déjà écrite … les Russes sont des joueurs d’échecs. Ils ont mis l’OTAN en zugzwang ! Quoique l’OTAN fasse, elle se dirige inexorablement vers le mat !
Et je pense que Trump l’a compris.
… je pense que Trump l’a compris … et il refile gentiment la patate chaude aux européens, histoire que l’Histoire ne mêle pas son nom à la débâcle.
Trump c o u i l l e s m o l l es qui dit : arrêtez moi ou je fais un mal heur.
🤣😂🤣
Je ne l’aurais pas dit comme ça, mais c’est pas faux !
Pas faux du tout 😉
Je ne l’aurais pas dit comme ça mais c’est très bien vu
Je cherche un truc à ajouter mais … tout a été dit !
Disons que Trump est moin c.o.n qu’on le ne croit mais beaucoup plus qu’il ne le pense 😉
Trump DIT qu’il est à bout de patience. Et après ?
Trump parle comme une maîtresse d’école qui menace de punir un mauvais élève. Ce comportement infantile fonctionne avec Macron, Rutte, Zebenski … ! Mais Xi, Poutine et Modi ne sont plus en culottes courtes.
Le petit garçon capricieux, c’est Trump !
« je t’aime, moi non plus »
Une fois de plus, une analyse des plus sommaires.
Trump est versatile, émotif et irrationnel. Putin a toujours tenu le même discours. Il a accueilli poliment à la fois les compliments et les critiques du canard boiteux sans changer sa position.
Trump DIT qu’il est à bout de patience. So what ?
Trump parle comme une maîtresse d’école qui menace de punir un mauvais élève. Ce comportement infantile fonctionne avec Micron, Rutte, Zobenski … ! Mais Xi, Poutine et Modi ne sont plus en culottes courtes.
Le petit garçon capricieux, c’est Trump !
Bref, les Russes ne s’intéressent plus beaucoup à ce que dit Trump. Ils ont déjà pris leurs dispositions, anticipé toutes les crasse possibles et ils maintiennent le cap pour atteindre luers objectifs.
Les gesticulations des occidentaux ne feront que retarder l’inéluctable et rendre la situation plus explosive.
»…Trump–Poutine : la rupture est-elle imminente ?.. »
Trump coui lles mo lles, faux dur fait rire le monde entier quand il menace Poutine de sanctions. 😂😂😂