Alors que l’espace devient l’un des enjeux sécuritaires les plus importants, certains pays tentent de développer leur industrie afin de s’imposer comme une puissance sur laquelle compter. C’est le cas des États-Unis, de la Chine, mais aussi de la Russie et de la France, qui prend le sujet très au sérieux.
Début octobre, sous l’impulsion de la Direction générale de l’armement (DGA), un dialogue a été instauré entre l’exécutif et les principaux acteurs de ce marché en plein développement. L’idée ? Réunir industriels, scientifiques, militaires et entrepreneurs dans l’idée de créer les fondations d’une stratégie sur laquelle se reposer pour permettre à la France de se doter des moyens nécessaires pour compter.
La France veut être capable de répondre aux grandes puissances
Une initiative qui s’inscrit dans un contexte politique, social et militaire complexe, marqué par la guerre en Ukraine, qui dure depuis maintenant quatre années, mais aussi le développement extrêmement rapide de moyens et de stratégies favorisant la surveillance et l’espionnage à grande échelle, notamment depuis l’espace.
Car l’espace n’est plus ce “terrain” d’exploration qu’il a autrefois été. C’est désormais un lieu stratégique pour les États et les forces armées. La France en a bien conscience et souhaite fédérer l’ensemble des acteurs de l’écosystème spatial sur le territoire, à commencer par la DGA, le CNES, l’ONERA et start-ups, pour leur permettre de stimuler l’innovation et de tirer dans le même sens. La priorité est d’ailleurs donnée au développement de systèmes de navigation fiables ou la protection contre les brouillages électroniques (notamment pour l’usage de drones).
Un secteur riche sur lequel l’administration peut compter
Afin de parvenir à atteindre les objectifs fixés par l’exécutif, la France peut compter sur l’engagement d’une filière riche et fournie. Plus de 60.000 personnes travaillent de près ou de loin, en lien avec l’univers spatial. Un marché qui connaît une dynamique exceptionnelle, grâce à l’apport de nombreuses start-ups, qui ont compris les enjeux qui y étaient associés et qui lèvent des fonds, innovent et lancent des projets qui viennent concurrencer et chambouler les acteurs traditionnels, forcés de faire face.




« C’est pour de vrai qu’il y a des gens qui meurent »
Oui mais somme c’est un sociopathe, il se fout des gens qui meurent. Il y a déjà plein de soldats français qui sont revenus d’Ukraine dans des sacs en plastique et il s’en fout ….
A moins de pouvoir les planter lors d’une cérémonie funéraire grandiose, ça ne l’intéresse pas.
Quelle bonne blague. La France que Micron a mis en état de faillite virtuelle veut être capable de répondre aux grandes puissances.
Macron souffre d’une pathologie appelée syndrome de l’enfant roi.
Le problème, c’est qu’il veut faire la guerre avec tout le monde. C’est pas un jeu la guerre. C’est pour de vrai qu’il y a des gens qui meurent