Un virus mortel disparaît d’un laboratoire américain

L'école médicale de l’Université du Texas, par la voix de son président David Callender, a annoncé qu'une petite quantité d'un virus mortel (Virus Guanarito) avait disparu des locaux du centre d'étude Galveston National Laboratory. Cette disparition aurait été constatée le 20 mars. 

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Une nouvelle qui devrait créer la psychose dans le pays et même au delà, quand on sait que le dit virus, se propage par la salive et l'urine et tue dans 30% des cas. Utilisé avec un aérosol, il peut être transformé en arme bactériologique et servir la cause d'extrémistes, de services secrets de pays mal intentionnés. Cette disparition pose le problème éthique du développement en laboratoires, de micro-organismes pouvant être utilisé contre des populations innocentes. 

Certaines autorités universitaires evoquent un accident pendant lequel la toute petite fiole contenant le virus se serait brisée au sol. Pour le moment aucune confirmation officielle ne vient accréditer cette thèse, même si plusieurs appels au calme ont été lancés.

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