(La classe politique complice) Annoncé comme une réforme majeure de notre politique de gestion des populations, le Recensement administratif à vocation d’identification de la population (Ravip), a tout l’air d’un cheval de Troie dont les initiateurs cachent habillement les vraies raisons.
La précipitation notée autour de la mise en œuvre de ce projet, la politisation à outrance de sa gestion ainsi que les équivoques entretenues par la loi qui l’encadre, amènent à douter de la sincérité de ses chantres.
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