L’avènement au pouvoir du régime de la rupture fondé sur le nouveau départ a suscité grand enthousiasme auprès des citoyens. Ils étaient nombreux les Béninois qui pensaient que les maux qui gangrènent l’administration tels : la corruption, le détournement des fonds publics, le favoritisme et l’affairisme devraient être considérablement atténués.
Au constat, plutôt que de régresser, ces vices semblent au contraire se répandre davantage dans l’administration à travers des méthodes plus subtiles.
Le concept de rupture était entendu comme la mise sur pied d’un mode de gouvernement axésur l’éradication des vices par le fait de rompre avec les mauvaises pratiques de la société en général et de l’administration en particulier. Après plus de 20 mois d’exercice du pouvoir, la déception des populations est à son comble et non sans justifications. Les citoyens approchés pour témoigner des cas de rupture observée dans la gouvernance du nouveau départ manquent d’inspiration. Ilsaffirment plutôt que le gouvernement de la rupture n’a rompu avec aucune pratique décriée. Ils trouvent que ce régime a plutôt accentué les vices préexistants. De nombreux exemples sont cités dans ce sens. Pour ce qui est de la corruption et de détournement de fonds publics par exemple, des observateurs font observer que le gouvernement actuel a hérité d’un pouvoir qui avait comme premiers dossiers brûlants, les cas de corruption et de détournement publics.
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j’invite tout le monde, les jennes en particulier à regarder autrement les choses et ne rien espérer de nos dirigeants car…
Ce Monsieur est pauvre en ressources intellectuelles pour diriger un pays. Bon à rien à ce poste.
Je vais me faire l’avocat de celui qui est pour vous, dans l’absolu un peu vite le Diable.
Quelle que soit les ressources intellectuelles du monsieur qui dirige le pays, il s’est entouré des ressources nécessaires si j’en juge par les parcours de ceux, qu’il a appelé pour exécuter sa politique.
La question n’est donc pas là. Elle est plutôt, quelle politique est mise en oeuvre ?
Quelle est la crédibilité de ceux qui sont sensés la contrôler ?
Gbeto M
Qui a t’il appelé pour exécuter cette basse besogne ? Des noms, des noms, des noms, stp ?
Avoir confiance à Patrice Talon pour lutter contre la corruption est faire preuve de naïveté.
Lui même est le produit de la corruption, il ne peut en être autrement.
Il est le béninois qui traîne le plus de casserole. Donc n’espérez rien de bon de lui dans ce secteur.
Honnêtement que pouvons attendre de Talon. Dans ses prises de paroles aucun enthousiasme, aucune conviction. Pour un Président de 2018, ayons la modestie de reconnaître que le Monsieur n’a pas les compétences pour diriger un pays.
J’ai en mémoire l’interview que lui a accordé mon frère et ami Kounde T ou notre Président disait que pour être réélu à un second manda, il faut avoir les grands électeurs avec soi, les realisation du quinquennat ne sont déterminantes. On peut d’ailleurs ne rien faire avait il dit.
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