L’avènement au pouvoir du régime de la rupture fondé sur le nouveau départ a suscité grand enthousiasme auprès des citoyens. Ils étaient nombreux les Béninois qui pensaient que les maux qui gangrènent l’administration tels : la corruption, le détournement des fonds publics, le favoritisme et l’affairisme devraient être considérablement atténués.
Au constat, plutôt que de régresser, ces vices semblent au contraire se répandre davantage dans l’administration à travers des méthodes plus subtiles.
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