L’opposition au Burundi a décidé de ne pas faire la langue de bois. En effet, l’un des leaders de l’opposition dans le pays, Agathon Rwasa, a dénoncé l’acharnement du pouvoir en place contre les hommes du camp d’en face.Le premier vice-Président de l’Assemblée nationale burundaise, Agathon Rwasa, hausse le ton. Il s’insurge contre l’acharnement dont sont victimes les opposants au régime du Président Pierre Nkurunziza.
Mais il ne s’est pas arrêté là il dénonce également le fait que sa garde rapprochée lui a été retirée. Interrogé par la radio RFI, son porte parole en Europe, Aimé Magera, est allé dans le même sens. Au miro de Rfi, celui-ci est revenu sur le contenu de la note envoyée par le vice-Président Rwasa au facilitateur de la crise du Burundi, l’ancien président tanzanien Benjamin Mkapa.
Le vice-Président Rwasa avait dans sa note mis l’accent sur les menaces, intimidations, arrestations arbitraires dont font l’objet les responsables de l’opposition que ne s’alignent pas sur la vision de gouvernement au cours de la 4è session du dialogue entre les burundais.
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