L’album posthume de la rock star française fait un carton, sur fond de guerre judiciaire au sein du clan Hallyday ; Patrick Bruel ami du défunt révèle avoir eu la primeur de l’écoute de l’album. Un privilège jalousé.La guerre continue au sein du clan Hallyday et ce n’est certainement pas le succès de Mon pays, c’est l’amour, qui arrangera les choses surtout que Laeticia, la veuve, a été désignée au détriment des enfants, comme étant son unique héritière. Disque de platine, seulement une dizaine de jours après sa sortie, l’album posthume de Johnny Hallyday, n’est pas seulement un succès commercial, mais aussi un succès musical. « J’étais impressionné par sa voix » témoigne Patrick Bruel, artiste musicien au cours d’une entrevue accordée à un média français.
Patrick Bruel a donc écouté l’album, mais pas en même temps que tout le monde. En effet au cours de l’entretien, Bruel confiait avoir eu le privilège de l’entendre avant sa sortie ; « En fait, Johnny me l’avait fait découvrir quelques semaines avant de partir », très étonné de sentir autant d’enthousiasme chez le rockeur, qui songeait déjà à une grande tournée, alors qu’il se savait très affaibli. « Ce n’était pas l’album de quelqu’un de résigné » explique Patrick Bruel « mais celui d’un battant ».
Cette confidence du musicien attisera certainement les braises de la discorde au sein du clan Hallyday, Car les enfants Laura et David s’étaient heurtés à un refus catégorique de la veuve quand ils avaient exprimé leur désir d’avoir accès aux titres de l’album, pour pourvoir « s’assurer du respect de l’intégrité artistique de leur père », avant sa commercialisation.
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