Dans un post publié sur sa page facebook, Léhady Soglo a adressé ses vœux au peuple béninois. L’ancien maire de Cotonou a souhaité des élections législatives apaisées .Il a aussi eu une pensée pour les exilés politiques et les détenus. Léhady Soglo a formulé ses meilleurs vœux de « paix, de joie, de prospérité et surtout de santé » au peuple béninois, à travers un post publié sur sa page Facebook. « A nos vaillantes populations, je souhaite moins de peines et de difficultés à faire face au quotidien…Que 2019 soit également placée sous le sceau de la liberté (liberté d’association et d’opinion ; liberté d’entreprendre, liberté de circulation) et de l’unité retrouvée au Bénin » a-t-il écrit. L’ex édile de Cotonou a par ailleurs invité les béninois à la tolérance pour que les élections législatives se passent dans le calme. « En cette année particulière où nous retournerons à nouveau dans les urnes, dans un climat politique tendu, cultivons plus que jamais la tolérance et le vivre ensemble sans lesquels aucune nation ne peut se bâtir » a-t-il exhorté.
«Demain sera meilleur»
Léhady Soglo n’a pas oublié les exilés politiques et les personnes qui pour une raison ou une autre ont été privées de leur liberté. « Demain sera meilleur ; ayons foi en l’avenir » a t-il lancé à leur endroit. Pour rappel, l’ancien maire de Cotonou est en exil en France depuis plus d’un an. Il est visé par plusieurs mandats d’arrêt internationaux délivrés par le juge du 7e cabinet du tribunal de première instance de Cotonou sur demande de l’ancien procureur de la République Gilbert Togbonon. Entre autres faits reprochés à Léhady Soglo : la résistance qu’il aurait opposé à la police quand elle voulait perquisitionner son domicile et l’incinération des valeurs inactives de la mairie de Cotonou.
Il faut dire à Bébé Soglo (qui ne grandit jamais) qu’il y a une différence entre un fugitif et une exilé politique. Le terme « exilé politique » a un contenu en droit international et ces gens là qui ont pour la plupart la nationalité française se réfugient derrière ce bouclier pour éviter l’extradition. Mais le temps est l’autre nom de Dieu.
IMBECILE ET INSENSÉ.TU PEUX ATTENDRE TOI?DEMANDE A TALON COMMENT FUIRE PAR MALLE ARRIERE
Des exilés volontaires pour des faits constitutifs de délit de droit commun ne sont pas des exilés politiques. Personne n’est poursuivi au Bénin pour avoir exprimé des opinions politiques. Il faut que Lehady et ses petits copains arrêtent leur cinéma et rentrent répondre des faits à eux reprochés.
Tu es un peu borné, mon petit. On va le chasser du pouvoir. avec des briques dans le cul.
laisses agadjavi,et allomann…les dogmatiques..qui nous prennent pour des blaireaux..
Venir répondre des faits..?..eh bien…on a vu des gens devenus célèbres..qui ont refusé..de ce soumettre..basiquement à ce principe..et on préfèré fuir