• À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives
jeudi, février 25, 2021
jeudi, février 25, 2021
Connexion
Menu
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Pas de résultat
Voir tous les résultats
La Nouvelle Tribune
Accueil Education

Un mois après la rentrée scolaire au Bénin: «les enseignants, ça viendra» (Alain Dossou Hounlèyi)

Par Gabin Dédjila
il y a 1 an
(très populaire)
Commenter
Photo d'illustration Epp Gbégamey Sud

Photo d'illustration Epp Gbégamey Sud

FacebookTwitter

A lire

Bénin : Le Bénin vit une gouvernance autoritaire, Me Sadikou Alao

D5-Presidence benin

Conseil des ministres : Mise en place d’un système de personnalisation de passeports ordinaires biométriques

Voir plus d'articles

Depuis le 16 septembre 2019, les cours ont repris dans l’enseignement maternel, primaire et secondaire. Plus d’un mois après, des classes sont sans enseignants. Elles devront encore attendre, selon le secrétaire général du ministère des enseignements maternel et primaire, Alain Dossou Hounlèyi.

À lire aussi
  • Bénin : Les recommandations de la Cedeao après la mission préélectorale
  • Bénin : Selon les députés UP, "les démocrates" ont refusé les parrainages
  • Bénin: vers le recrutement des enseignants du supérieur sur concours

Tous les écoliers et écolières au Bénin n’ont pas encore un enseignant pour les encadrer en classe, plus d’un mois après la rentrée scolaire effectuée le 16 septembre 2019. «Nous sommes conscients que nous avons commis ce retard», répond le secrétaire général du ministère des enseignements maternel et primaire, Alain Dossou Hounlèyi au micro de Soleil Fm.

Il défend que le problème de pénurie d’enseignants n’est pas spécifique au Bénin et ne date non plus d’aujourd’hui. Il confie que « les dispositions sont en train d’êtres prises » car, « le point est fait ». Seulement, il dit ne pas pouvoir donner une période ou une date précise ; cela peut prendre un peu de temps. «Les enseignants, ça viendra […] Les enseignants iront en classe […] Vous verrez que nos classes seront dotées d’enseignants dans peu de temps.», affirme-t-il.

Pourtant des normaliens sont à la maison

Le Sg avoue que ce qui fait couler beaucoup d’ancre et de salive à cause de cette situation, c’est le cas des normaliens formés, évalués mais qui sont encore à la maison. Pour mémoire, ces enseignants ont été évalués en août 2018. C’est un an après, août 2019, que les résultats ont été publiés. Et depuis, silence à nouveau, pendant qu’il y a manque d’enseignants. Il y a un besoin de « près de 10.000 enseignants dans le primaire », à en croire le Sg.

Pour répondre à ce paradoxe, l’invité de Soleil Fm soutient que « le gouvernement a son plan ». « C’est le gouvernement qui a dit qu’il veut évaluer les enseignants. Pourquoi doit-on être pressé maintenant en poussant le gouvernement à aller vite ?», se demande cette autorité du ministère des enseignements maternel et primaire.

« On ne sait pas ce à quoi (l’évaluation) va servir »

Le Sg souligne que ces enseignants n’ont pas passé un concours de recrutement. De même, le gouvernement ne leur a jamais dit qu’après le teste ils seront envoyés dans les salles de classe, à l’en croire. « Le gouvernement a dit, ‘’venez composer’’. On ne sait pas ce à quoi ça va servir», précise l’inspecteur. Ce qu’il y a lieu de faire, selon lui, c’est de «patienter». « On sait que c’est des enseignants. Ils iront certainement en classe un jour », ajoute-t-il.

A noter que dans le secondaire, l’évaluation a eu lieu pendant les vacances dernières et déjà ces enseignants appelés « aspirants » sont envoyés dans les établissements. Mais le Sg Alain Dossou Hounlèyi estime qu’une telle comparaison entre le primaire et le secondaire n’est pas juste. «Au primaire, c’est beaucoup plus délicat », défend-t-il. «Patientez. Vous verrez qu’il y aura bientôt des enseignants dans les classes pour encadrer nos enfants. Encore que dans certains milieux, des parents se sont organisés pour trouver des enseignants en attendant …» insiste-t-il.

Commenter

Commentaires 1

  1. Fonton dit :
    29 octobre 2019 à 12:43

    Tout est dit ici. Si c’est ce genre de personne qui réfléchit sur notre système éducatif, ce qui se passe aujourd’hui ne dois pas étonner. Le gouvernement évalue des gens et ne savait pas ce qu’il va faire des résultats. J’avais déjà des doutes sur cette inflation d’examens dans notre pays depuis 2016. J’ai comme l’impression c’est aussi un moyen de saigner mes caisses de l’état.

    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Dernier commentaire

  • Mike dans Bénin : Le Bénin vit une gouvernance autoritaire, Me Sadikou Alao
Facebook Twitter Instagram RSS
Google News

Cliquez ici pour nous suivre sur Google News. Recevez des notifications depuis votre application de Google sur téléphone, ou des infos de dernière minute sur votre ordinateur.

A ne pas rater

Procureur Metonou
A la une

Bénin : Dramane Tidjani du parti « Les Démocrates » devant la CRIET ce lundi

Liens utiles

  • À propos
  • Contactez-nous
  • Charte du site
  • Archives

© 2019 La Nouvelle Tribune

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • A la une
  • Bénin
  • Politique
    • Conseil des ministres
  • Société
    • Education
    • Culture
    • Communiqué
  • Economie
  • Les grandes Interviews
  • Santé
  • Bien-être
  • Insolite
  • Sport
  • Science & Tech
  • People
  • Opinion
  • Proverbes

© 2019 La Nouvelle Tribune