Arme Hypersonique : Après la Russie, les USA se lancent dans la course

Alors que la Russie a récemment confirmé à de multiples reprises qu’elle était en train de renouveler son arsenal militaire afin d’entrer de plain-pied dans une nouvelle génération d’armes, voilà que le gouvernement américain songe à faire de même. D’ici à 2022, un planeur équipé de réacteurs sensiblement similaires à ceux d’une fusée devrait entrer en action.

Il y a quelques mois, Moscou dévoilait les premiers missiles hypersoniques au monde, preuve d’une avancée technologique certaine. Face à la menace, le gouvernement japonais a confirmé que d’ici à 2030, il prévoyait de faire de même. De son côté, le gouvernement américain a lui aussi décidé d’entrer de plain-pied dans cette folle course à l’armement. Le 20 mars, le Pentagone s’est ainsi félicité de la bonne tenue et de la réussite des premiers tests de sa nouvelle arme hypersonique, un planeur nouvelle génération.

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Le Pentagone décide de réagir

Ces missiles de nouvelle génération volent à une vitesse qui les rend difficiles, voire impossibles à intercepter d’autant qu’ils sont en mesure de changer de direction en cours de vol. Ces armes, longues distances, sont susceptibles de frapper n’importe où dans le monde. Les premiers missiles et armes du genre seront développés par la firme américaine, Lockheed Martin, spécialisée dans les technologies aérospatiales. Ce planeur américain pourra être propulsé à une vitesse défiant les probabilités avant de planer dans l’atmosphère jusqu’à ce qu’il atteigne sa cible. Il pourrait être déployé de manière officielle d’ici à 2022. Une version sous-marine est également prévue pour 2024.

La Russie a une longueur d’avance

Une nouvelle qui pourrait rebattre les cartes au sein des forces et des grandes puissances de ce monde. Alors que la Russie semblait avoir pris un temps d’avance, le gouvernement américain a donc décidé de dépenser sans compter afin de rattraper son retard et s’offrir un système de défense et d’attaque de nouvelle génération. Face à la pression des sénateurs, qui estimaient que l’armée américaine n’avait plus de quoi se défendre et se retrouvait donc à la merci de ces nouvelles puissances, le président Trump a donc tranché.

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