Au Bénin, les élections communales ont eu lieu hier dimanche 17 mai en dépit de la crise sanitaire actuelle. Comme on pouvait s’y attendre, certains ténors de l’opposition ne sont pas allés accomplir leur devoir civique. Candide Azannai, le leader du parti Restaurer l’Espoir a par exemple passé sa journée dominicale chez lui. Ce qui ne devrait guère surprendre. Selon les propos relatés par le journal L’Evènement Précis, l’opposant a laissé entendre que participer à ces élections ne serait que cautionner « des lois scélérates et un processus électoral conduit par les institutions illégalement mises en place ».
Outre Candide Azannai, Nicéphore Soglo et Boni Yayi n’auraient également pas voté. Le premier président de l’ère du renouveau démocratique était introuvable dans son centre de vote habituel hier, au quartier Cadjèhoun (Cotonou). Ce fait ne doit également pas surprendre car Nicéphore Soglo n’approuve aucunement la façon dont l’actuel chef de l’Etat gère le pays. Il le martèle chaque fois qu’il en a l’occasion.
Il avait une autorisation spéciale
Quant à Boni Yayi, il ne s’est également pas montré hier dimanche 17 mai. Et pourtant, il aurait reçu une autorisation spéciale pour aller voter bien qu’il soit en quarantaine à cause de son récent retour de voyage. Tous ceux qui sont dans sa situation ont d’ailleurs bénéficié de cette autorisation.
Le fait que Yayi ne soit pas allé accomplir son devoir civique n’est pas un événement. En effet, l’ex chef d’Etat avait déjà démissionné de son parti , la FCBE. Il accuse les responsables de cette formation politique d’avoir des relations incestueuses avec le pouvoir actuel. Ceux-ci ont toujours balayé d’un revers de main ces accusations.



Ce qui se passe dans le pays est ni plus ni moins du bracage politique et instituonnel. Le Bénin ne mérite pas ça.
Mais lorsqu’un aventurier sans foi ni loi, occupe la plus prestigieuse des institutions du pays, c’est le bordel qui s’installe.
Voilà ce qu’est devenu le Bénin
Triste pour mon cher pays, quand chacun reste dans son camp et ne pense qu’à son « adogo »
La politique de la chaise vide n’a jamais gagne nulle part.
Que nos politicards en prennent la lecon.
L’article n’a vraiment pas sens .
Pour un travail journalistique ; c’est un amateurisme qui ne dit pas son nom
Je voudrais juste souligner que le vote n’est pas obligatoire dans notre pays.
Que Soglo , Azannaî et Yabo s’abstiennent d’accomplir leur devoir civique ; où est le problème ???
Vous m’agace ; vraiment.
Je passais
Le Plombier
Lire : vous m’agacer
Le Plombier ente la première et la deuxième faute laquelle est faute mineure et laquelle majeure?
on s’en fout il suffit qu’un seul beninois et beninoise aille voter. Qui est naif pour accorder une credibilité à celui là.
Pour un ancien prof de philo il manque de sagesse et de reserve
Azannai n’a pas voté, cela n’a pas empêché le soleil de se coucher et un nouveau jour se lever sur le Benin.
Comme le vendu qui avait l’habitude d’acheter des voix à l’assemblée nationale pour Talon afin de faire échec aux votes de lois de Yayi n’est plus lui-même acheté depuis longtemps par ce dernier, on ne doit pas s’attendre à une autre réaction de sa part.