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Libye : selon Ankara, la France cherche à renforcer la présence russe

Par Rodrigue Gozoa
il y a 10 mois
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(Photo : AP Photo/Lefteris Pitarakis)

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La Lybie est le nouveau point focal des tensions géopolitiques dans la région. La France et la Turquie, notamment, tous deux membres de l’OTAN, sont en désaccord depuis des mois sur leurs politiques, en Méditerranée orientale et dans le nord-est de la Syrie et bien entendu en Libye. Lundi, lors d’une conférence de presse en Allemagne, le président français Emmanuel Macron accusait la Turquie de ne pas respecter ses promesses. Et ce Mardi, Ankara répliquait que la France ne désire que renforcer la présence russe en Lybie.

Bataille médiatique entre Ankara et Paris

Mardi, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue hongrois Peter Szijjarto, a déclaré que «  l’OTAN voit la Russie comme une menace, mais la France, alliée de l’OTAN, essaie d’augmenter la présence russe en Libye ». Au cours du point de presse conjoint, le premier diplomate turque avait également ajouté « Malgré le fait que nous semblons opposé à la Russie, nous ne travaillons pas à aggraver la situation, mais à parvenir à un cessez-le-feu ».

Une réponse du tic au tac, aux déclarations du président français faites à Schloss Meseberg, une maison d’hôtes du gouvernement allemand, lundi. Le président Macron avec à ses côtés la chancelière Merkel, avait laissé entendre que la Turquie en s’impliquant militairement dans la crise libyenne, en y envoyant des « combattants djihadistes de Syrie », avait failli aux « engagements pris lors de la conférence de Berlin ». Pour Macron, Ankara dans ce contexte précis et en tant membre de l’OTAN, avait engagé sa « responsabilité historique et pénale ».

En Lybie, la configuration militaire avait changé du tout au tout, quand la Turquie sur invitation de Fayez Al Sarraj, avait emmené avec elle, les combattants de l’armée de Libération Syrienne. Le général Haftar et le LNA soutenus par la Russie, la France, l’Egypte et les Emirats Arabes Unis, en position avantageuse, avaient été contraints, sous la pression militaire des alliés du GNA, de battre en retraite.

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