Ibrahim Boubacar Keïta, largement connu sous le nom d'IBK, avait vu son régime être au centre de plusieurs semaines de manifestations de masse contre ce que ses détracteurs, disent être sept ans de régime corrompu, inepte et négligent. Ce mardi, un groupe de soldats dans un acte de mutinerie, le mettait aux arrêts ainsi que d'autres hauts responsables gouvernementaux et militaires. Les mutins avaient déclaré qu'ils prévoyaient de mettre en place un gouvernement de transition et d'organiser des élections. Mais pour de nombreuses voix à l’Internationale, L’Algérie voisin, l’Union Africaine et les USA, ce coup de force n’était pas acceptable.
Un coup de force vivement condamné
« Je ne veux pas qu'une seule goutte de sang soit versée pour me maintenir au pouvoir » avait déclaré IBK dans un discours télévisé diffusé à l'échelle nationale et annonçant la dissolution du Parlement et de son gouvernement. Quelques heures plus tard, des militaires se disant du «Comité national pour le salut du peuple» s’adressaient aux maliens pour expliquer qu'ils ne voulaient pas «détenir le pouvoir», mais permettre très rapidement des «élections générales» pour des «institutions fortes». Le Mali est un est un allié occidental clé dans la lutte contre le djihadisme au Sahel.
Et une instabilité politique au Mali, pouvait avoir, selon des observateurs, de lourdes conséquences dans la lutte contre le terrorisme. Dès Mardi, L’Union Africaine, la France, les États-Unis et l’ONU, étaient montés au créneau pour condamner la mutinerie d’abord et ensuite demander la libération immédiate des personnalités détenues. L’Algérie voisine immédiate du Mali, avait également tenu à signifier qu’elle s’opposait à tout changement « anticonstitutionnel » dans le pays.
Pour Alger, seules des élections démocratiques et transparentes devaient présider à l'alternance du pouvoir à Bamako. Quand le président Ramaphosa, président en exercice de l’UA, et Mike Pompeo, secrétaire d’état des USA, appelaient eux à un retour sans délais à la légalité constitutionnelle.
Gombo , plus récent avec Robert Mugabe c’était quoi ? Tous des hypocrites ceux qui donnent de la voix pour se protéger , ce syndicat de chef d’État fantoche et godillot . le peuple du malin a pris ses responsabilités , aidé par de vaillants soldats patriotes point barre , et que cela fasse tâche d’encre ; à qui le tour ?
Toi là! en 2006 tu étais où ? tu étais grand copain avec Talon pour sabler le champagne.
En 2011 tu étais toujours au côté de ton grand copain Talon à sabler le champagne pour le KO volé et truqué n’est ce pas ?
Aujourd’hui tu nous parles au nom de quel peuple ? Espèce de bandit de sale espèce va…
Ta jalousie vis-à-vis de Talon va te tuer.
coalition militaire pour aller envahir le Mali ah bon!!!
Joeleplombier, je veux vous voir au front.
Le renversement de Ben Bella par Voymedienne constitutionnel ?
Le démantèlement de l’apartheid constitutionnel ?
La révolution française constitutionnelle ?
Pitreries !!!
Lire Boumedienne
Révolution française! Parlons en. Si tu étais présent le mardi 14 juillet 1789 à la Place de la République tu serais revenu zigouillé. Silence!!!
Vieux révolutionnaire irresponsable de pacotille. Fouteur de merde va!
Tu as peur que cela n’arrive à ton boss
Force restera à la loi .
Il est impérieux qu’une coalition militaire envahisse le Mali pour boutter dehors ses soldats incapables de tirer un coup de feu à Kidal face aux djihadistes
Une honte .
Il faut qu’on arrête ses brigands sinon c’est une ouverture de la boîte à pandore.
Je passais
Le Plombier
#Klébé_révélé
Lire: envahissent