France : une conductrice tue une passante et accuse Citroën

Il y a près de cinq années, un accident de voiture coûtait la vie à une femme. La coupable, une autre femme, a récemment été jugée en appel et a été reconnue coupable d’homicide involontaire. Un accident qu’elle refuse de reconnaître, affirmant que son véhicule, un C4 Picasso, était défaillant.

En effet, selon la justice, la coupable aurait appuyé e manière non-intentionnelle, mais trop brusquement sur sa pédale d’accélérateur, qu’elle pensait d’ailleurs, être son frein. Pour autant, celle-ci refuse d’admettre ses torts et a décidé de se pourvoir en cassation. En effet, à ses yeux, c’est son C4 Picasso qui serait responsable, présentant une défaillance.

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Un procès en appel qui confirme le facteur humain

Le 5 octobre 2015, à Clermont, dans l’Oise, celle-ci recule de sa place de parking, à la gare municipale, afin de dégager un peu de passage. Appuyant doucement sur son accélérateur, la conductrice part finalement à toute vitesse et percute une première voiture. Sous l’effet du choc, la voiture pivote et repart à toute vitesse, le temps d’une vingtaine de mètres.

Une plainte déposée contre Citroën

La voiture percute finalement un mur. En sortant du véhicule, la conductrice estime en avoir terminé avec ce qu’elle affirme être un cauchemar. Très vite, elle découvre toutefois un corps sous la voiture, une femme de 40 ans, qui a été traînée sur plusieurs mètres. Blessée, elle meurt finalement quelques minutes après que la voiture se soit arrêtée. Une femme habituée à conduire, qui en trente ans de permis n’a jamais connu le moindre accident. Plusieurs expertises semblent toutefois confirmer le facteur humain et non technologique de cet accident. Pour autant, la boîte de vitesses utilisée sur le C4 Picasso a déjà été pointée du doigt par la presse spécialisée. 

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