La gendarmerie française est endeuillée, après le suicide de deux de ses membres. En effet, il s’agit de deux gendarmes ayant plus de cinquante ans, dont les corps sans vie ont été retrouvés à Lyon et à Toulouse. Selon les informations du média français, La Voix du Gendarme, les deux militaires ont utilisé leur arme de service pour s’ôter la vie. L’un des suicides est celui de la commandante de la brigade de prévention de la délinquance juvénile.
Elle aurait laissé une lettre avant de mourir
Le corps de la défunte âgée de 53 ans a été retrouvée à Lyon, à l’intérieur d’une pièce non utilisée de la caserne Delfosse, qui se trouve dans la rue Bichat (2e). Divorcée et mère d’un enfant, elle aurait laissé une lettre dans sa maison avant de se donner la mort. Le second suicide est celui du major Patrick A.. Cet adjoint au peloton motorisé de Toulouse, s’est donné la mort dans le lieu où il réside, au siège de la gendarmerie. Il était âgé de 56 ans et avait deux enfants âgés de 27 et 30 ans.
D’après l’association gendarmes et citoyens (APNM), il devait prendre sa retraite en fin année. Sur le réseau social Facebook, elle a adressé ses condoléances à la famille éplorée. « Nous adressons à sa famille, ses proches et ses camarades nos plus sincères condoléances et les assurons de tout notre soutien dans cette épreuve » a-t-elle laissé voir. Pour les deux suicides, une enquête a été ouverte.
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