L’histoire de cette famille chinoise vivant à Suzhou, une ville dans la province de Jiangsu en Chine est digne des meilleurs feuilletons romantiques et dramatiques dont, la gent féminine est particulièrement friande. Un inextricable quiproquo familial sur fond de romance, qui ne voyait son dénouement qu’avec le sacrifice de l’un des acteurs phares de la série ou l’aveu contrit du « méchant ». Seulement cette fois, il ne s’agissait pas de mise en scène et les personnes impliquées dans cet imbroglio familial sont bien des hommes et des femmes avec des sentiments et des émotions.
Quand une mère marie ses deux enfants …entre eux
Suzhou est une localité rurale, réputée pour « ses canaux, ses ponts et ses jardins classiques ». Une ville pittoresque, avec de grands jardins aménagée qui font la joie de ses visiteurs. Et c’est dans ce cadre particulier qu’une femme, une mère de famille, en ce jour du 31 Mars, gagne une belle-fille et retrouve sa fille disparue il y a des années. Mais fait particulier, la belle-fille et la fille, sont une seule et même personne.
La belle-mère nommée par la presse chinoise ‘’Xi’’ s’apprêtait à voir son fils convoler en justes noces avec l’élue de son cœur. Une belle-fille que Xi ne rencontrera que le jour du mariage. Seulement avant la cérémonie, la femme sera toute suite frappée par la tâche de naissance que sa belle-fille portait sur la main. Une tâche qu’elle aurait reconnue entre mille, puisqu’elle lui était familière : c’est la tâche que portait sur la main sa fille perdue depuis des années et qu’elle n’avait jamais pu retrouver. Intriguée, Xi se rapprochera des beaux parents de son fils pour découvrir que sa bru était bel et bien une enfant adoptée.
Transportée de joie, Xi s’en ouvrira aux fiancés qui au-delà de la joie ressentie par la femme, ont un instant cru que s’en était terminé de leur amour. Mais nul besoin d’annuler le mariage avait confié Xi, puisque le marié en question, son fils, était lui aussi un enfant adopté ! Xi avait donc accepté avec joie en ce jour du 31 Mars, de voir, fait peu commun, ses deux enfants se dire oui, l’un à l’autre.
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