La présidentielle du 11 avril 2021appartient désormais au passé. Les regards sont maintenant tournés vers les législatives de 2023. Orden Alladatin y pense fortement et imagine déjà une rude bataille entre les partis politiques, notamment ceux qui soutiennent Patrice Talon. Pour l’invité de l’émission « L’entretien » diffusée sur la chaîne de télévision E-télé ce dimanche 02 mai, les formations politiques de la mouvance, ont une ligne opérationnelle différente même si elles sont « derrière le chef de l’Etat dans la conduite de l’action gouvernementale ».
"Un parti qui n’est pas sûr d’avoir les 10%, qu’il ne s’entête pas"
« C’est la collaboration avec le président de la République que nous avons en partage…Nous essayons de faire assez de concession aujourd’hui » clarifie le député de l’Union Progressiste qui invite les partis politiques n’ayant pas une assise nationale à se fédérer à d’autres pour aller à la compétition en 2023. « Un parti qui n’est pas sûr d’avoir les 10%, qu’il ne s’entête pas. Qu’il fédère son potentiel avec d’autres pour espérer être en règle avec cette disposition du Code électoral. Si vous estimez que seul vous pouvez affronter les prochaines élections, vous êtes libres. Mais ne criez pas après à l’exclusion quand vous n’auriez pas atteint le seuil requis » a prévenu l’invité de E-télé selon les propos rapportés par le journal Le Matinal.
Le système de parrainage oblige
Inutile de rappeler que le nouveau code électoral impose aux partis politiques d’avoir 10% des suffrages exprimés au le plan national lors des législatives avant de prétendre à un siège de député au parlement. Les législatives de 2023 seront décisives pour l’aile dure de l’opposition qui doit batailler dur pour avoir au moins 16 députés à l'Assemblée nationale.
Ce qui assurera sa participation à la présidentielle de 2026 parce que les nouveaux textes exigent le parrainage d’au moins 16 députés et ou maires pour être éligible à la présidentielle au Bénin. C’est le système des parrainages.
Il peut compter sur leurs lois exclusives pour avoir la grande gueule aujourd’hui. La roue de l’histoire tourne te rien n’est éternel. Idriss Deby en sait désormais quelque chose malgré ses trente ans au pouvoir.
Komi kouché …docteur en finance…au state…
Et dire que certains ont été virés…dès la première de deug a……
Ne me demandez pas le nom de la personne…..
Je ne veux pas etre capturé en pleine circulation….pour te rrorisme…
Une marie honnête
pour être élu il faut avoir les suffrages, c’est tout

Voilà des arrivistes qui ne peuvent se faire élire chef de quartier et que le regroupement hétéroclite d’Amoussou a traîné à l’assemblee
Gombo…!!!
Comme on le dit…tu as marché sur ma langue
Oui…parve.nus…arri.vistes….pétris dans l’arro.gance….sous le parapluies…de la force publique..
Oui ces gens…tirent leur légitimité…de cette force
C’est pourquoi…j’ai dit que notre o pposition…est victime de son imm aturité….puisque…faisant de la personne…de..666…leur cible….dis je….ils vont échouer…
Il faut trouer le para pluie….