L'industrie technologique mondiale est actuellement plongée dans un maelström de tensions, au cœur desquelles se trouvent les deux superpuissances : les États-Unis et la Chine. Cette compétition intense, qui s'apparente à une véritable guerre de l'ombre, a récemment pris une nouvelle tournure avec l'escalade autour du projet Titan d'Apple. Connue pour son innovation sans cesse renouvelée et la qualité irréprochable de ses produits, la firme à la pomme ne cesse d'attirer l'attention de concurrents et d'États ambitieux. Le projet Titan, qui vise à créer une voiture autonome révolutionnaire, a en effet suscité un intérêt mondial sans précédent. Mais derrière cet engouement se cache une réalité plus sombre : celle d'une guerre technologique impitoyable, où tous les coups semblent permis.
L'affaire Weibao Wang en est le plus récent exemple. Cet ingénieur chinois travaillait pour Apple, au sein même du projet Titan, lorsqu'il a été accusé de vol de données ultra-confidentielles. Wang est ensuite soupçonné de s'être enfui en Chine avec ces précieuses informations, une dérobade qui a jeté une nouvelle lumière sur l'intensité de l'affrontement technologique entre les deux superpuissances. Il est important de noter que le cas de Wang n'est pas isolé. Il est en effet le troisième employé d'Apple accusé d'espionnage pour le compte de la Chine. Cette série d'incidents renforce l'image d'une bataille acharnée pour la domination technologique, où la propriété intellectuelle est continuellement menacée.
Face à ces violations présumées, Apple, et par extension les États-Unis, sont confrontés à un dilemme. Comment préserver leur avance technologique tout en évitant les fuites de leurs précieux secrets industriels ? Comment maintenir un climat de collaboration internationale tout en protégeant les intérêts nationaux ? De son côté, la Chine continue de bâtir son empire technologique, parfois au détriment des règles établies par la communauté internationale.
L'ambition chinoise, soutenue par un soutien étatique massif, représente un défi majeur pour les autres acteurs du secteur, en particulier ceux des États-Unis. À l'heure actuelle, la tension entre les États-Unis et la Chine autour du projet Titan d'Apple n'est que le dernier chapitre d'une guerre technologique complexe et multifacette. Les conséquences potentielles de cette compétition vont bien au-delà du secteur de l'automobile et pourraient redéfinir l'équilibre des forces sur la scène internationale.
Comme le soulignent les affaires d'espionnage récurrentes, cette guerre ne fait que commencer. Le monde technologique doit se préparer à d'autres batailles, à d'autres affaires, à d'autres défis. Dans cette compétition impitoyable, une question reste en suspens : qui, des États-Unis ou de la Chine, gagnera la course à l'innovation ? Seul l'avenir nous le dira.
Je vais profiter de l’incrédulité moqueuse de nos « aéronautes-experts-ès-corrosion-des-matériaux » et consorts, pour vous donner mes frères, la version 20. de l’affaire.
Peu importe comment je l’ai su et l’ai incidemment découvert à l’occasion de mes activités pro.
FAITS REELS
Une université d’Afrique, se voit offrir par l’attaché culturel d’un grand pays, 2/3000 PCs pour réservés « aux doctorants et masters de certaines filières d’avenir », avec – tenez vous bien – 100 Go de stockage dans le cloud (informatique en nuage hébergée), chez un hébergeur bien connu pour être en cheville avec le gouvernement de son pays… Rien que pour eux 🙂
La smala gouvernementale, cérémonies, l’attaché culturel, l’ambassadeur (je ne sais plus), tout le monde baisait presque les mains « aux généreux donateurs »
Les travaux de 2/3 ans de 3000 étudiants Bac+5/7 d’une nation « offerts » en échange de PCs obsolètes au bout de 3 ans…
Elle n’est pas belle la vie ? 🙂 🙂
Je vais vous étonner, c’est là que je rejoins « Casscoui… » – le bien nommé – sur « le discours victimaire habituel », de nos pseudo panafricanistes bêtes à manger du foin :
Quand on enchaine les conn… on ne peut pas à longueur de journées venir se plaindre que les autres passent leurs temps à vous marcher dessus.
Les succès scientifiques de la Chine viennent en grande partie d’espionnage académique, scientifique et du pillage industriel
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(@_@)
Parce que tu crois nous apprendre quelque chose ?
Business as usual !
Les russes font pareil et les ricains estiment que toutes les données stockées sur des serveurs ricains doivent leur être accessible. Ils ont même légiféré en ce sens !
La prochaine, c koi ? Tu vas nous pondre une tartine pour nous apprendre que, dans le cadre de tes activités pro, tu as incidemment appris que la terre était ronde !
Ca ne concerne pas que les données. Les chercheurs français évitent d’utiliser Google dans le cadre de leurs recherches. Google établit un profil de l’utilisateur ainsi que l’historique des recherches et le tout est transmis aux agences ou universités américaines que ça pourrait intéresser
Merci
La Chine n’a aucune base technologique proprement dite. Sa technologie est une technologie volée par l’entremise de la cybercriminalité. Et la Chine échouera lamentablement si elle cherche à confronter les USA dans ce domaine.
Ben voyons, en 2022 la Chine a déposé plus de brevets concernant les semi-conducteurs que les États-Unis.
Y en a qui sont encore au 20ème siècle
La Chine investit en effet énormement dans la recherche, « aidée » par le vol systématique d’informations et/ou par les contrats de transferts de technologie signés par des investisseurs naïfs ou aveuglés par les perspectives de gains en Chine.
Les brevets sont souvent une manière de s’approprier des innovations volées aux autres.
Les africains devraient le savoir. Ils en sont si souvent victimes
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(@_@)
Oooooh, les pauvres !
La banane plantain, je dis pas mais la technologie africaine, je sais pas s’il y a quelque chose à piquer !
T vraiment un veau !
Le tire-bouchon à pas de vis inversé, à la rigueur !
Quelle ignorance ! Détrompez vous.
ça existe pourtant bien, hélas…
Les brevets concernent souvent, non pas des choses spectaculaires qui révolutionnent le monde, mais des parties très spécialisées de domaines pointus.
Si vous étiez un peu plus imprégné du monde académique, vous sauriez que nombre de recherches ont régulièrement fait l’objet de « substitution » à leurs auteurs qui n’avaient pas les moyens ou par imprévoyance; n’ont pas déposé de brevets internationaux.
AU Bénin même, un universitaire (biologie de mémoire) a dû alors qu’il était en litige avec l’industrie pharmaceutique, se faire cornaqué partout par un garde du corps suite à des menaces.
C’est un fléau qui existe à bas bruit et qui est bien connu du monde universitaire.
Je ne parle même pas des de thésards dans les universités du monde, qui se sont a posteriori, retrouvés dépossédés des brevets d’innovation dont ils étaient à l’origine.
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(@_@)
imprégnés… se faire cornaquer..
Si les Africains ne déposent pas de brevets, c’est parce qu’ils s’en font dépouiller. Quelle bonne blague ! Argumentaire de sophiste teinté du misérabilisme victimaire habituel !
Intellectuellement inepte
Tu comprends ce que tu veux « Cassco »… ou ce que tu peux.
Les africains sont sans aucun doute ceux qui ont la capacité la plus faible en matière de brevets déposés ( L’Education en particulier scientifique fait l’objet de négligences incroyables depuis 60 ans)
Et cette situation est aggravée par une hémorragie des fruits des quelques travaux universitaires qui aboutissent à des brevets déposés par d’autres.
Attitude totalement contraire de la Chine qui elle, manœuvre sans vergogne pour piller/espionner de façon industrielle, les recherches des autres – en plus des siennes propres – et déposer les brevets auxquels elles aboutissent
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(@_@)
« Les africains sont sans aucun doute ceux qui ont la capacité la plus faible en matière de brevets déposés »
Ben ouais, on est bien d’accord !
So What ! Tu continues à chouiner …?
Ne faites jamais confiance aux Chinois
