Au cœur des enjeux contemporains, la question de la souveraineté numérique se profile comme un impératif pour de nombreux pays, et le Mali en offre un exemple saisissant. Récemment, le pays a fait montre d’une remarquable détermination en récupérant avec succès son système informatique souverain de gestion des données, baptisé NINA. Cette prouesse, rendue possible grâce à l’engagement des ingénieurs maliens volontaires.
Lorsque les données biométriques des Maliens ont été « prises en otage » par une société étrangère, c’est le génie et la résilience des informaticiens maliens qui ont permis de faire face à cette situation critique. Leur action, empreinte de courage et de dévouement, a abouti après trois semaines de lutte acharnée, à la récupération réussie des données.
La création de la plate-forme innovante « MALI KURA BIOMÉTRIE » vient consacrer l’expertise et la persévérance des ingénieurs maliens. Cette initiative, pionnière dans la sous-région francophone, atteste du potentiel technologique et de l’ambition du Mali à affirmer sa souveraineté dans le domaine numérique. En effet, cette plate-forme, présentée récemment au plus haut niveau de l’État, ouvre de nouvelles perspectives pour une administration plus efficace et sécurisée.
À l’origine de cette réussite, l’engagement sans faille des acteurs maliens, animés par un profond sentiment patriotique. Face à l’humiliation que représentait la prise en otage des données, ces experts ont fait preuve d’un altruisme remarquable en offrant leurs services bénévolement. Cette démarche, motivée par l’amour du pays, a permis de surmonter les difficultés sans engendrer de charges budgétaires supplémentaires.
La mise en place de MALI KURA BIOMÉTRIE marque ainsi une avancée significative vers une souveraineté numérique assumée. Conçue dans le respect des principes et des intérêts nationaux, cette solution offre une alternative pérenne et économique aux dépendances extérieures. Elle incarne également la volonté du Mali de s’affranchir des pressions et des contraintes imposées par des prestataires étrangers, en garantissant la maîtrise totale de ses données et de son infrastructure numérique.




Encouragez les experts nationaux.
L’Afrique aux Africains en Afrique.
Ils sont ridicules…. M’enfin bon , sa changerait rien à nos vies…
Certainement, vos vie pas la vie des maliens. Aigris et haineux, personne ne demande votre opinion. Demandez plutôt à la France de grandir. Elle ne gagnera rien dans sa posture actuelle de gamin capricieux, immature.
Les maliens ne vous demande rien. Ils veulent que la France s’éloigne à jamais de leurs affaires. C’est qui se passe et pour toujours. Vos pleurs et insultes ne pourront rien arrêter. En plus ce qui arrive à la France au Mali, au Burkina et au Niger, lui arrivera aussi partout ailleurs en Afrique. Bonne journée.
Vive le Mali, allez la transition, c’est un exemple pour l’Afrique plus particulièrement la Guinée.
Cet article est incomplet. Pouvez-vous expliquer comment les informaticiens récupèrent les données biométriques mis en place par une société sans solder son compte ou refaire un recensement. C ‘est bizarre .
@Kokou, djo xo do, nianvi yè*
*laisse courir mec
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(@_@)
o Kokou djo xho do kpohoum!
Bel exemple à suivre. En quelques semaines de volontariat, ils ont fait la différence. Il y’a beaucoup de domaines, à part l’informatique, où les ingénieurs africains peuvent aider et participer à la libération de leurs pays respectifs. Les connaissances et l’expérience sur place et dans la diaspora font légion. Les gouvernements africains peuvent mettre à jour et exploiter leurs bases de données de compétences pour relever des défis similaires. Ils peuvent même coopérer entre eux pour l’echange des compétences, au-delà des frontieres artificielles. Example: Un ingénieur en IA du Burkina peut faire du volontariat au Niger, au Togo, au Tchad, en Centrafrique, ou au Bénin, et vice-versa.
« Données prise en otage… » « une prouesse », « maîtrise totale…de son…numérique » que de dithyrambes !
Bref, tout est bon dans le cochon 🙂
Qu’il protègent déjà les systèmes de leurs banques, troués comme du gruyère et on en reparlera
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(@_@)
« Qu’ils protègent… »