Bill Gates : les étonnantes révélations de sa fille sur sa santé

Bill Gates (CHESNOT, GETTY IMAGES)

Lors d’un épisode récent du podcast Call Her Daddy, Phoebe Gates, la benjamine de 22 ans du fondateur de Microsoft, a parlé ouvertement des particularités neurodivergentes de son père. Accompagnée de l’activiste environnementale Sophia Kianni, elle a partagé comment le syndrome d’Asperger, que Bill Gates a lui-même reconnu dans ses mémoires Code Source publiées début 2025, a influencé leur dynamique familiale.

Cette révélation offre un aperçu intime de l’une des personnalités les plus influentes du monde technologique, décrit par sa fille comme « assez maladroit socialement », une caractéristique qui a marqué de nombreuses interactions familiales au fil des années.

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Les défis des interactions sociales

Les maladresses lors des rencontres avec les petits amis de Phoebe illustrent parfaitement ces particularités comportementales. Un incident particulièrement mémorable s’est produit lorsque Bill Gates devait conduire sa fille et son cavalier à une soirée de lycée.

Lors d’un arrêt dans un restaurant rapide, le milliardaire a confondu le prénom du jeune homme, créant un moment d’embarras intense pour l’adolescente. Ces situations, bien que difficiles sur le moment, sont désormais racontées avec une touche d’humour par Phoebe, qui reconnaît que présenter un prétendant à son père reste « terrifiant » pour les jeunes hommes concernés.

Une relation transformée par la compréhension

Avec la maturité, Phoebe a développé une nouvelle perspective sur les comportements de son père. Ce qui représentait autrefois une source d’embarras s’est transformé en une compréhension plus profonde de sa neurodivergence. « Honnêtement, je pense que maintenant, c’est devenu plus facile pour moi, » a-t-elle confié pendant l’entretien, révélant comment l’acceptation des particularités paternelles a renforcé leur relation.

La fille de Bill et Melinda French Gates a même découvert un avantage inattendu dans ces interactions sociales atypiques. Elle considère désormais les réactions de son père comme un indicateur fiable du caractère de ses prétendants, transformant une caractéristique potentiellement limitante en un atout relationnel précieux.

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