L’Algérie veut donner un nouveau souffle à ses infrastructures routières et ferroviaires. Pour concrétiser cette ambition, le pays pourra s’appuyer sur un soutien financier important de la Banque islamique de développement (BID). Selon diverses sources concordantes, l’institution prévoit d’accorder 3 milliards de dollars à l’Algérie sous forme de prêts étalés sur trois ans.
Cet engagement marque une étape importante dans les efforts de modernisation du pays. Les premières autorités souhaitent ainsi renforcer les réseaux de transport pour accompagner la croissance économique et améliorer la mobilité des populations. Le réseau routier, qui reste un pilier central du développement national, fait partie des priorités. L’État souhaite améliorer la qualité des routes existantes tout en ouvrant de nouveaux axes stratégiques.
Mais le plan ne s’arrête pas là. Le secteur ferroviaire figure aussi parmi les chantiers visés. L’Algérie cherche à optimiser le transport de marchandises et de passagers à travers des liaisons plus rapides et plus fiables. Une meilleure connexion entre les régions du nord et celles du sud pourrait aussi favoriser une intégration économique plus équilibrée.
La collaboration avec la BID s’inscrit dans une logique de partenariat à long terme. Cette coopération ne se limite pas au financement. Elle comprend aussi un accompagnement technique dans la mise en œuvre des projets. Avec ces investissements, Alger affiche sa volonté de construire un socle solide pour sa stratégie de développement. L’amélioration des infrastructures peut jouer un rôle clé dans l’attractivité des territoires et la création d’emplois.
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