Depuis sa création en 1901, le prix Nobel de la Paix reste l’un des symboles les plus puissants du paysage diplomatique mondial. Conçu pour récompenser les efforts visant à apaiser les tensions entre les nations, il suscite chaque année débats et controverses. De Theodore Roosevelt à Barack Obama, en passant par des figures moins consensuelles, le Nobel reflète autant des ambitions diplomatiques que des choix politiques. C’est dans cette tradition à la fois honorifique et stratégique que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a décidé de proposer Donald Trump pour cette prestigieuse récompense. Ce geste, bien que symbolique à ce stade, intervient dans un contexte où les tractations autour de Gaza, les tensions régionales et les ambitions électorales se superposent.
Trêves régionales et ambitions personnelles
La proposition de Netanyahu n’est pas née dans un vide diplomatique. Elle survient alors que les négociations sur un possible cessez-le-feu à Gaza semblent progresser. Trump, lors d’un dîner officiel avec le Premier ministre israélien à la Maison Blanche, a été présenté par son hôte comme un artisan de paix « d’un pays à l’autre ». Le timing est significatif : une trêve fragile entre Israël et l’Iran a récemment été obtenue, relançant les espoirs de désescalade. Washington affirme aussi que le Hamas se dit prêt à discuter d’un arrêt des hostilités.
Pour Trump, cette nomination vient s’ajouter à une longue série d’efforts de reconnaissance. L’ancien président américain, qui a toujours revendiqué un rôle central dans les dynamiques de paix internationales, n’a jamais caché son désir d’obtenir le prix. Il met en avant, entre autres, son rôle dans la médiation entre l’Inde et le Pakistan, son implication dans les négociations entre l’Égypte et l’Éthiopie sur le barrage du Nil, ainsi que les Accords d’Abraham, qui ont permis à Israël d’établir des relations officielles avec plusieurs États arabes.
Un geste hautement stratégique
En portant officiellement la candidature de Trump devant le comité Nobel, Netanyahu ne se contente pas de rendre hommage à un ancien allié. Il envoie également un signal politique. D’une part, il valorise un leadership fort capable de négocier au plus haut niveau, même dans les situations les plus tendues. D’autre part, il donne de la visibilité à des efforts diplomatiques menés en dehors des canaux traditionnels — à rebours de l’image souvent plus feutrée des lauréats passés du Nobel.
Ce geste renforce aussi le positionnement de Trump sur la scène internationale, alors qu’il multiplie les interventions pour peser sur les discussions liées à Gaza. Sa volonté affichée de mettre fin à la guerre, appuyée par l’émissaire américain Steve Witkoff en partance pour Doha, résonne avec son besoin de se présenter non seulement comme un homme fort, mais comme un pacificateur. Cela pourrait s’avérer décisif à l’approche d’échéances électorales majeures.
Vers une redéfinition des critères de paix ?
La candidature de Donald Trump, si elle était retenue, pourrait relancer un débat ancien : qu’est-ce qu’un acte de paix dans un monde où les conflits sont de plus en plus diffus et géopolitiquement complexes ? Alors que les anciens critères du Nobel reposaient souvent sur des accords historiques, la diplomatie contemporaine fonctionne désormais par trêves temporaires, médiations éclatées, et équilibres de tensions.
Le cas de Donald Trump fait écho, en miroir inversé, à celui de Barack Obama. En 2009, le comité Nobel avait surpris le monde en attribuant le prix à un président fraîchement élu, misant davantage sur l’élan symbolique de son arrivée au pouvoir que sur des résultats tangibles. Le pari reposait sur une promesse de rupture diplomatique, incarnée par un discours d’ouverture et une posture multilatérale.
Trump, lui, avance avec une posture opposée : celle d’un négociateur dur, attaché aux rapports de force, dont les démarches ont pourtant abouti à des accords concrets, comme les Accords d’Abraham. Là où Obama avait reçu le prix en amont d’un chantier diplomatique, Trump postule avec un bilan à défendre. Mais les deux figures souffrent, chacune à leur manière, d’un décalage entre l’image qu’elles projettent et les attentes implicites du comité : l’une trop idéalisée, l’autre trop clivante.




Trump bombarde illégalement l’Iran, il file des missiles aux ukros qui les balancent sur des civils russes et ukrainiens dans le Donbass.
Cette c.r.a.p.u.l.e mérite bien le prix Nobel de la Paix
Netanyahu est un flatteur, et manipulateur. Il a Trump et connait le manipuler comme une marionnette. Netanyahu connait les ficelles qu’il faut tirer pour avoir l’attention de Trump. Trump rêvait du Prix de Nobel de la Paix depuis très longtemps, désigné candidat par un génocidaire ayant des mains souillées de sang des frères palestiniens et palestiniennes, nous attendons avec patience accrue le jour de l’annonce de ce fameux prix de Nobel de la Paix à Trump.
Un génocidaire qui propose le prix Nobel de la PAIX à un dingue qui bombarde des installations nucléaires sans la moindre raison légale !
C’est quoi ce monde de dingues ?
Quand un criminel génocidaire propose le nom d’un président qui a ordonné au mépris du droit international le bombardement avec des avions militaires les sites de recherches d’un pays souverain ; il y a lieu de se poser des questions sur la faculté intrinsèque et cognitive de ce bab**in sioniste.
Cherchez l’erreur
« Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute »
Me Jacques Vergès arrête, arrête vite ton mensonge de citation….do fpngbé kpèdé…ota di guinta dohoun….poh poh
do do fOngbé*
coupé décalé moularé moularé
C’est comme je le disais dans mon commentaire sur Angélique Kidjo… bientôt nous aurons des terro.ristes en babouches se voir décerner le prix Nobel et la paix et pourquoi pas ceux de la physique/chimie, de l’économie.
IL y a des mains très sales et des cerveaux détraqués qui manipulent toutes les institutions internationales .
»… des mains très sales et des cerveaux détraqués qui manipulent toutes les institutions internationales … »
Allons, n’exagérions rien.
»… Trump futur prix Nobel de la Paix ? Netanyahu relance l’idée… »
mdrrrrrrrrrrrrr!😂😂🤣
Ce n’est pas interdit de rêver.
Ces deux là peuvent toujours courir.