Alors que les économies occidentales s’enlisent dans des dettes publiques record, l’Algérie se distingue par une gestion financière rigoureuse et vertueuse. Aux États-Unis et en France, où l’endettement dépasse respectivement 115 % et 114 % du PIB, la menace de crises budgétaires (voire d’interventions du FMI) pèse sur les ménages et la consommation.
De son côté, le continent africain compte des exemples où croissance économique et discipline budgétaire coexistent harmonieusement. En misant sur des secteurs clés comme les hydrocarbures, l’industrie ou le commerce international, plusieurs pays du continent prouvent qu’il est possible de soutenir une expansion économique sans sacrifier la stabilité des finances publiques.
Stratégie d’endettement maîtrisée et sélective
C’est notamment le cas de l’Algérie. Le pays a opté pour une approche différente, privilégiant ainsi le financement interne aux emprunts à l’étranger. Résultat, les tensions internationales et les aléas des marchés financiers n’impactent que très peu les finances du pays.
Une politique à contre-courant, qui implique un poids assez relatif de la dette, dans le PIB. Une approche aux antipodes de celle de nombreux pays développés, souvent dépendants de créances extérieures au prix de leur souveraineté.
Fortes de plus de 90 milliards de dollars de réserves de change, les autorités algériennes disposent d’un rempart contre les crises externes. Cette solidité financière avérée et un véritable atout pour Alger. Ainsi, le pays peut effectivement mener des opérations d’investissements ambitieuses, facilitant le développement et la diversification des sources de revenus.
Ambitions de puissance économique régionale
Avec pour objectif un PIB de 400 milliards de dollars, l’Algérie ambitionne de devenir, sous peu, la seconde puissance économique du continent africain. Outre la réussite économique, Alger souhaite aussi capitaliser sur ses réformes politiques pour continuer de grandir. Modernisation du droit des investissements et le développement des ports, visent à attirer les capitaux étrangers tout en préservant l’autonomie financière du pays, en sont quelques-uns des meilleurs exemples.




l’algérien n’a pas attendu la locomotive pour prendre son temps et son chemin.
ça va venir, l’Algérie sera une puissance mondiale
Cette Algérie est devenue un exemple de gestion et de gouvernance que j’ai constaté moi-même sur place.