Depuis février 2022, la guerre en Ukraine, déclenchée par l’invasion russe, s’enlise dans une violence persistante, laissant derrière elle des dizaines de milliers de morts et un paysage géopolitique profondément ébranlé. Ce conflit, a pris une tournure dramatique avec l’offensive générale de Moscou.
Malgré les tentatives de médiation, la Russie de Vladimir Poutine poursuit ses opérations militaires, défiant les efforts internationaux pour une paix durable. La récente rencontre entre Poutine et le président américain Donald Trump à Anchorage, censée explorer des pistes de résolution, est éclipsée par la réalité du terrain : les attaques russes se multiplient, sapant toute crédibilité aux discussions.
Washington dénonce la nouvelle attaque
Dans la nuit du 27 au 28 août 2025, Kiev a subi l’un des bombardements les plus meurtriers de l’année. Bilan : 17 morts, dont quatre enfants, des dizaines de blessés, et des infrastructures civiles détruites, parmi lesquelles des bâtiments accueillant des délégations européennes et britanniques. Cette frappe massive, survenue alors que les négociations battaient leur plein, soulève des doutes sur la volonté réelle de Moscou d’engager un dialogue sincère. Pourtant, les États-Unis et leurs alliés continuent de plaider pour un cessez-le-feu et une issue négociée.
Des négociations sabotées par les faits
Les initiatives diplomatiques de Donald Trump, qui a organisé plusieurs rencontres avec Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, butent sur une contradiction flagrante : la Russie parle de paix, mais intensifie la guerre. D’ailleurs, Keith Kellogg, émissaire spécial de Trump pour l’Ukraine, a qualifié ces attaques de menace directe aux efforts de paix, rappelant leur coût humain et leur impact sur des civils sans défense.
L’offensive du 28 août, qui s’est matérialisée par l’envoi de 574 drones et 40 missiles lancés sur Kiev, illustre cette stratégie de double jeu. D’un côté, Moscou participe aux pourparlers tout en renforçant sa pression militaire, rendant les discussions tripartites (Washington-Moscou-Kiev) extrêmement fragiles et difficiles à croire côté européen notamment.
L’avenir d’une paix toujours plus lointaine
D’ailleurs, les leaders européens l’ont encore souligné. Emmanuel Macron, le président français, a notamment fustigé la barbarie russe tandis que du côté allemand, il a été jugé évident que Moscou ne souhaitait aucunement qu’une rencontre ait lieu avec l’Ukraine et plus globalement les européens.




« Washington dénonce la nouvelle attaque »
Du pipeau. Trump veut se débarrasser du boulet ukrainien pour faire du business avec les Russes. Le problème, c’est que s’il ne dit pas du mal des Russes, on le traite d’agent du Kremlin 😂 😂 😂. Un comble pour un POTUS qui ne se nourrit que de burgers, de pizzas industriels et de cocu-collé.
Ce discours « il sont tués des petits z’enfants » fait partie d’une stratégie minable de victimisation. Le but est d’obtenir un cessez-le-feu pour pouvoir réarmer l’Ukraine qui est dans le dur.
Il faut rappeler que les Ukrainiens ont tué 14.000 civils de leur propre population dans le Donbass entre 2014 et 2022, date de « l’entrée en guerre » de la Russie AFIN d’ARRETER le massacre !