Depuis quelques mois, un phénomène qui avait pourtant semblé reculer fait, un retour en force dans les nuits béninoises. Le Wolosso, cette danse jugée obscène et dégradante, réapparaît dans plusieurs bars, boîtes de nuit et lieux de plaisir à Cotonou, Porto-Novo, Parakou, Abomey-Calavi ou encore Bohicon et autres. Ce spectacle, qui consiste en des chorégraphies volontairement érotiques, se déploie désormais au grand dame des principes moraux, avec des organisateurs qui ne se cachent presque plus. Pour certains, il s’agit de divertissement. Pour d’autres, c’est le signe inquiétant d’une dépravation morale qui s’installe au nez et à la barbe de tous.
Le Wolosso, longtemps associé à des milieux marginaux, est aujourd’hui érigé en animation régulière dans des bars et lounges des grandes villes du Bénin. Le principe est simple : des jeunes filles, souvent en tenue légère, montent sur scène pour exécuter des pas suggestifs au rythme des musiques urbaines. Certaines se laissent même aller à des exhibitions quasi p0rn#gr@phiques, sous les acclamations d’un public chauffé à blanc.
Pour attirer du monde, certains promoteurs de bars n’hésitent plus à afficher ouvertement le programme des “soirées Wolosso” sur leurs affiches publicitaires ou sur les réseaux sociaux. Les vidéos de ces prestations circulent ensuite sur les réseaux sociaux, démultipliant l’impact de ce qui n’est, au départ, qu’un “show” pour noctambules.
Une banalisation inquiétante
La banalisation de ce type de spectacle pose un réel problème. Le Wolosso, loin d’être une simple danse, encourage une marchandisation du corps féminin et installe un climat où l’indécence devient normale. Plusieurs associations de femmes et d’éducateurs s’inquiètent de voir des adolescentes s’inspirer de ces pratiques et reproduire les gestes dans les cours d’école ou sur les réseaux sociaux.
« Aujourd’hui, il suffit de se promener un samedi soir dans certains quartiers populaires de Cotonou, Abomey-Calavi, Parakou, Porto-Novo ou ailleurs pour constater que le Wolosso est devenu une attraction courante. Des jeunes mineures y assistent parfois sans aucun contrôle. C’est une véritable école de la dépravation », déplore un enseignant.
Le rôle ambigu des promoteurs de bars
Les propriétaires de bars et night-clubs se défendent souvent en arguant qu’ils ne font que “répondre à la demande du public”. Selon eux, les soirées Wolosso remplissent les salles et génèrent des bénéfices substantiels, dans un contexte économique difficile.
Pourtant, derrière cet argument économique se cache une volonté claire de tirer profit d’un phénomène qui fragilise les repères sociaux. Certains établissements vont jusqu’à organiser des concours de Wolosso, avec récompenses financières pour les danseuses les plus audacieuses. Ce qui encourage une surenchère dans la provocation et l’exhibition.
La police républicaine, encore mise au défi
Face à ce retour du Wolosso, la Police républicaine se retrouve de nouveau interpellée. Les campagnes menées par le passé s’étaient surtout concentrées sur l’expulsion des prostituées des abords des grandes voies et des maisons closes clandestines. Mais la réalité d’aujourd’hui est plus subtile : la dépravation ne se cache plus, elle s’expose sur scène, souvent sous couvert de divertissement artistique.
Au-delà du scandale moral, le Wolosso expose la jeunesse béninoise à des risques considérables : l’hypersexualisation précoce des adolescents, qui considèrent ces spectacles comme normaux, la propagation de pratiques sexuelles à risque, avec l’alcool et la drogue qui circulent dans ces milieux festifs, la perte de repères culturels, car ces danses importées et exagérément sexualisées effacent la richesse des danses traditionnelles béninoises.
Pour beaucoup, il ne s’agit pas seulement de répression policière. La lutte contre le Wolosso passe par une réglementation claire des animations dans les bars et night-clubs, avec des sanctions en cas de spectacles obscènes, une sensibilisation renforcée des jeunes dans les écoles et universités, afin de leur montrer les dangers de ces pratiques, une promotion des alternatives culturelles : concours de danses traditionnelles, soirées artistiques mettant en valeur la créativité sans tomber dans l’exhibition. (👉 Suivez toute l’actualité béninoise sur notre compte TikTok : @lanouvelletribunebenin ;🔥 « Restez branché à l’actu béninoise sur notre chaîne WhatsApp officielle ! » en cliquant ici : La Nouvelle Tribune sur WhatsApp)




Joé le plombier Vèrgès est un sadique Papi donc…il expose ses petits-enfants et arrières petits enfants au wolosso pour avoir de quoi payer son loyer de SDF 😘🥲😛c’est incroyable pour ce pépé agbaya de la rue des ninkouin wolosso
L’engageuse tu as raison
On dit « la grande dame » ou « au grand dam »
Seul vous savez vos raisons!
Car « Laisser un commentaire » signifie l’afficher.
Le Wolosso « Certaines se laissent même aller à des exhibitions quasi porn*gr@phiques, sous les acclamations d’un public chauffé à blanc. »
Et je qualifie ça de « Débauche ».
Le Wolosso n’est pas « Soul Makossa ».
Ainsi vous ouvrez grande la porte aux maladies infectieuses pour s’abattre sur votre jeunesse en la décimant. Vous avez sans doute oublié La SIDA.
La police Républicaine vient faire quoi dans tout ça ??? Pourquoi assimiler ce qui ne représente rien à une dérive par rapport aux pratiques libertaires et liberticides dans les pays occidentaux. Du moment où les filles qui s’exhibent sont majeures je ne vois pas le problème. On me parle de dépravation ; et puis quoi encore ??? Sortez de vos fantasmes et stéréotypes, le monde est globalisé et lés réseaux ont changés les mœurs autrefois des sujets tabous.
Quittez dans ça et prenez le gbaka pour Lagos. Il y a pire que ça la-bas. L’avion c’est trop vous demander pour Abidjan ou pour les capitales occidentales.
Cherchez l’erreur
Faites un tour à Bruxelles pour voir les filles en vitrine ou à Amsterdam et j’en passe . Pire Genève ou après le bar les filles dénudées vous proposent le s#x3 . Laissez les Béninois profiter de la vie dans ce pays où un repas au quotidien est un parcours du combattant. Si nourrir les yeux devient encore un problème de police Républicaine ; vendez le pays et donner ma part aux gens qui en ont besoin et on quitte ici.
Cherchez l’erreur
Joelep#dé du bois de Boulogne ne peut que soutenir cette pratique…
Pourquoi pas le bois de Vincennes route de la Pyramide dans le 12e à Paris ou à Pigalle entre le boulevard de Clichy et Rochechouart dans le 9e ???
Enfoiré. Encore que tu n’as jamais pris l’avion. Respectez ceux qui ont vécu. Djingbin.
Cass’toi ; pauvr’ con.
Joelep.édé, affiche le tableau complet de ses lieux de travail….le mytho woubi-suce qui chie comme un lézard avec toujours une partie blanche sur son kaka
Pépé Joeleplombier, chieur de caca comme un lézard avec toujours une partie blanche sur son kaka…poh poh poh…il va tomber évanoui encor ce soir en te lisant…Me Jacques Vergès, bouléfounou kabli kadja…daho
Me Jacques Vergès …pour un vieux trainard …je te connais depuis que mon équipe (je suis Colonel de la Police) t’avait chopé suite à tes exhibitions nues aux abords du Bois de Boulogne et à Château Rouge…
Tu vas retourner à la prison de Shiva à Versailles
Me Jacques Vergès, toi le plombier …ces filles majeures qui s’exhibent devant la fille de ta fille donc devant ta petite fille….. Adjèkèpwê, que veux tu qu’elle fasse demain, elle qui a été si vite initiée à la pratique gbandjo du wolosso….elle deviendra une reine du awolosso….quel Papy es-tu?
Espèce de yakamin, ayaka 🤓😎😂 yaka…