Alors que la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) doit débuter le 21 décembre prochain, pour se tenir jusqu’au 18 janvier 2026, les supporteurs sont sur le qui-vive. En effet, ces derniers n’attendent qu’une seule chose, pouvoir s’offrir un billet pour assister à une ou plusieurs rencontres lors de cette compétition.
Pour l’occasion, la CAF (Confédération africaine de football) a annoncé la création de Yalla, une application mobile à télécharger et à installer. Depuis cette application, il est alors possible de s’inscrire pour ensuite acheter un billet et même gérer son hébergement. Problème, lors de son lancement, rien ne s’est déroulé comme prévu.
Une application loin d’être fonctionnelle
En effet, dès les premières minutes après son lancement, les supporteurs n’ont pas réussi à se connecter. Les rares personnes qui ont été en mesure d’y parvenir ont ensuite été confrontées à des bugs techniques, comme des pages qui ne se chargent pas ou des messages d’erreur 500 ou 404. Naturellement, ces derniers se sont montrés désabusés, notamment sur les réseaux sociaux où la CAF n’a pas été épargnée par des commentaires acerbes.
Concrètement, Yalla repose sur le système de création d’un Fan ID ainsi que de son utilisation, pour l’ensemble des opérations à venir. Mais ce système est complexe à mettre en place et la plupart des utilisateurs n’ont pas été en mesure de le créer ou de le récupérer. Résultat, ces derniers ne pouvaient rien faire. Une partie des utilisateurs a tenté de supprimer son compte ou de réinitialiser son mot de passe dans l’espoir d’outrepasser ces bugs, mais rien n’y a fait.
Trop de mon d’un coup, l’application ne suit pas
Sur X, nombreuses ont été les personnes à se moquer de la situation, la comparant à un vrai désastre. Mais d’où vient le problème ? Après analyse, il s’est révélé que Yalla n’a tout simplement pas été en mesure d’absorber la demande. Des milliers de personnes se sont connectées, en même temps, provoquant une surchauffe des serveurs, qui n’ont tout simplement pas tenu.



De l’incompétence et de la désinvolture des autres …