Pendant que la série de procès denommé « biens mal aqcuis » est au centre des attentions avec le premier jugement rendu hier, l’ONG Transparency Internaitonal voit déjà comment les biens confisqués pourraient être retournés en Afrique.
Le premier épisode de la série de procès « Biens mal acquis » a livré son épilogue hier. La justice française a condamné le vice-président équato guinéen Teodorin Obiang a versé une amende de 30 millions d’euros et une peine de 03 ans de prison avec sursis.
A en croire Transparency International, ce sont les caisses du Trésor français qui seraient renflouées si les principaux dirigeants africains sont condamnés. Constituée partie civile dans ces procès, l’organisation propose une autre destination à ces fonds qui pourraient résoudre les problèmes des populations « spoliées« . En effet, Transparency International milite pour que les fonds qui seront récoltés après les confiscations des biens (immeubles, voitures, bateaux, œuvres d’art, etc) soient rétrocédés aux populations qui devraient bénéficier de ces ressources.
Le nœud du problème est « comment garantir que les avoirs issus de la grande corruption soient restitués aux populations victimes? » Pour cela, TI propose de toucher à la législation en cours afin que les populations civiles puissent profiter de ces ressources à travers des projets et programmes qui seront conduits par une agence gouvernementale.
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