Donald Trump: en colère après les révélations sur le FBI, il insulte James Comey (qui répond)

Le président américain Donald Trump est en colère depuis les nouvelles révélations de la presse sur les enquêtes lancées par le FBI.

Sur son réseau social préféré, Twitter. Le président américain Donald Trump a laissé éclater sa colère en insultant sans ménagement l’ancien directeur du FBI. Le leader de la Maison-Blanche venait d’apprendre que le FBI avait ouvert une enquête en 2017, après le limogeage de son directeur, pour savoir s’il travaillait pour le compte de la Russie. En un tweet, il s’est déchaîné contre l’ancien directeur du FBI qu’il a limogé, James Comey, et a profité pour lancer une pique au New York Times qui a révélé l’information.

Charge contre Comey, il répond en citant Roosevelt

«Wow, je viens d’apprendre dans le défaillant New York Times que les anciens dirigeants corrompus du FBI, presque tous limogés ou forcés à quitter l’agence pour de très mauvaises raisons, ont ouvert une enquête sur moi, sans aucune raison ni preuve, quand j’ai viré ce menteur de James Comey, une vraie ordure! (…) Le FBI était en pleine tourmente (…) en raison de la mauvaise gestion de Comey à sa tête (…) Mon limogeage de James Comey a été un grand jour pour l’Amérique. C’était un flic véreux» a affirmé le président dans une série de tweets.

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Des insultes qui ont poussé l’ancien directeur du FBI à répondre, et ce sans insultes, mais en citant Roosevelt : «Je vous demande de me juger par les ennemis que je me suis faits»

Une réponse

  1. Avatar de Yes-comment
    Yes-comment

    Une pirouette de plus pour James Comey, qui a cru pouvoir créer un paravent de plus en citant Roosevelt.
    Actualisons pour lui les mots prononcés, il faut lire :
    «Je vous demande de me juger par les amis que je me suis faits».
    Une dyslexie à pardonner en rapport de sa plus grave amnésie : en décembre dernier cet ancien directeur du FBI a eu à en effet témoigner lors d’une audience à huis clos du Congrès. Les comités judiciaire, de surveillance et de réforme du gouvernement de la Chambre qui cherchaient des réponses concernant les origines de l’enquête du FBI sur Trump-Russie, n’ont obtenu de sa part que des «je ne sais pas», «je ne me souviens pas» ou «je ne me souviens pas»… 236 fois, selon à la commission judiciaire, qui sait être bienveillante avec ses amis.
    Ajoutons, pour le fun, que ces deux défaillances psychologiques ne sont pas apparues aux yeux de tous, puisque ses avoirs nets sont passés de 206 000 $ en 2003, à plus de 10 millions de dollars en 2013 (les curieux pourront chercher du côté de Lockheed Martin). 

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