R. Kelly : sur twitter, des Africains rejettent sa probable venue sur le continent

Selon certaines informations, l’artiste américain R.Kelly souhaiterait fuir les Etats Unis. Une idée qui n’enchante pas vraiment les internautes, qui se sont mobilisés en masse sur les réseaux sociaux.Accusé d’agressions sexuelles et de pédophilie depuis la parution du documentaire intitulé « Surviving R. Kelly », le chanteur américain R. Kelly est dans la tourmente. Entre témoignages, pression médiatique et pression judiciaire, ce dernier aurait d’ailleurs décidé de fuir les États-Unis. Sa destination privilégiée ? L’Afrique.

R.Kelly souhaiterait fuir en Afrique

En effet, comme nous vous l’annoncions il y a de ça quelques jours, R. Kelly aurait émis l’idée de fuir son pays afin de ne pas être entendu par les forces de l’ordre. Dans l’Illinois et en Géorgie, deux enquêtes ont été rouvertes, le procureur de l’Illinois lançant même un appel à témoins.

Bien évidemment, l’idée de le voir partir ne plaît pas à tout le monde. Interviewé lors d’une émission radio, le rappeur Charlamagne Tha God s’est d’ailleurs demandé s’il était possible pour lui de partir à Johannesburg ou au Nigeria tout en se faisant accueillir à bras ouverts.

Les internautes, mobilisés contre l’artiste

« Les gens ont internet, là-bas aussi, ils sont au courant de ce qu’il se passe. » a-t-il ainsi confié, assurant de fait que l’idée de fuir en Afrique n’était probablement pas la meilleure. Un constat partagé par de nombreux internautes qui, via Twitter notamment, ont assuré que R.Kelly n’était pas le bienvenu chez eux. Ainsi, selon certains, les autorités feraient mieux de bloquer son passeport afin de l’empêcher de fuir, tandis que d’autres ont assuré qu’il était temps pour R.Kelly d’assumer ses responsabilités.

Enfin, si certains ont répondu avec humour que l’artiste devrait plutôt fuir en direction de Jésus, d’autres se sont montrés plus pragmatiques, estimant que l’Afrique n’était certainement pas une terre où les personnes accusées des faits les plus horribles pouvaient s’implanter. « De la part du Kenya, nous ne voulons pas de lui ! » pouvait-on par exemple lire, tandis que d’autres ont simplement assuré que « L’Afrique de l’Ouest ne souhaite pas l’accueillir ».