Le président de la République Patrice Talon, a rencontré hier jeudi 17 octobre, la Conférence des Présidents de l’Assemblée nationale. Au terme de cette séance, l’ancien président de la Commission des lois, le député Alexis Agbélessessi, a affirmé dans les colonnes du journal Fraternité, qu’il y aura une loi d’amnistie qui sera prise par le Parlement pour donner suite aux recommandations du dialogue politique relatives à la libération « de tous ceux qui sont en prison du fait des troubles électoraux ».
Outre cette loi d’amnistie, l’Assemblée nationale aura à « prendre certaines lois, à faire la relecture de certains textes ». Il s’agit notamment du toilettage de la charte des partis politiques et du code électoral, la loi sur le financement des partis politiques et le statut de l’opposition. Le député informe ensuite qu’un comité d’experts sera créé. Il aura pour mission de rédiger les textes en question.
Pour s’assurer qu’on transcrive fidèlement les recommandations du dialogue
Le comité est composé du facilitateur du dialogue politique, du rapporteur, des deux autres rapporteurs désignés par l’opposition et la majorité présidentielle, de trois représentants du parlement et deux personnalités désignées par le Président de la République Patrice Talon. Ce comité va s’assurer « qu’on transcrive de façon fidèle les recommandations issues du dialogue à travers les textes qui seront pris » a indiqué M Agbélessessi.
Bénin: Un comité d’experts pour la formulation technique des recommandations du dialogue politique
Rappelons que le dialogue politique qui a donné lieu à ces recommandations s’est déroulé du jeudi 10 au samedi 12 octobre dernier au Palais des Congrès de Cotonou. Il a connu la participation de plusieurs délégués de huit partis politiques sur les 9 invités. L’aile Paul Hounkpè, du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent, une formation politique de l’opposition, était de la partie. Le seul parti absent a pour nom :Dynamique pour le développement et la démocratie (Dud) de l’ancien député Valentin Aditi Houdé.
Une poursuite judiciaire contre des personnes qui expriment une colère légitime est d’ailleurs incompréhension !!!
C’est ceux qui sont à l’origine de ces réformes maladroites , anachroniques et anti démocraties qui doivent rendre compte d’une manière ou d’une autre.
Toutefois, une loi d’amnistie n’interdit en aucun cas, et au moment opportun la poursuite de ceux là qui sont à l’origine du bain de sang consécutif à cette manifestation populaire.
Ah ! Si ce plombier pouvait casser sa pipe et ne plus passer ….
Oumarou
Toi le petit musulman non croyant mangeur de porc; tu casseras la pipe bien avant moi
Ce que tu ne sais pas ; le Plombier universitaire est également Hounnon
Tu viens de foutre ton petit doigt dans le caca
Je reviens
Le Plombier universitaire
Je trouve extrêmement dangereux qu’on prononce une amnistie par voie parlementaire pour les badauds manipulés par Yayi qui ont incendiés , vandalisés et pillés des biens publics et privés pendant deux jours dans ce pays
La justice devrait suivre son cours pour situer les responsabilités quitte à pardonner après
Ce qui se passe dans ce pays est inimaginable au temps du Général
On me parle de démocratie ; ce pays n’a pas besoin de démocratie.
La démocratie n’est pas possible dans les pays en voie de développement
Pour son développement ; le Benin a besoin d’une dictature de développement.
Talon peut l’incarner pour 12 ans encore sinon ce serait un perpétuel recommencement
Je passais
Le Plombier universitaire
dans tout ça…quel sera le sort du porteur de chapeau….?
N’est était pas conscient des actes…du chapeau qu’il a assumé publiquement de porter
Les casses sont une conséquences prévisibles…et non les causes..